
La Dpee note que première décennie 1988- 1997 a d’abord été marqué par une dominance du secteur primaire qui occupait, en moyenne, 33% des investissements publics suivi du secteur quaternaire avec 30%, du tertiaire 26% et enfin du secteur secondaire 10%.
Par la suite, dit-elle, sur la décennie 1998-2007, les poids du secteur primaire et du tertiaire ont enregistré des baisses importantes respectivement, en moyenne, de l’ordre 9 et 8 points de pourcentage au bénéfice du secteur quaternaire.
Ce qui fait qu’au final, « les deux dernières décennies (1998-2007 et 2008-2017) ont été marquées par un poids prépondérant du secteur quaternaire, soit respectivement 49% et 43% ». En revanche, ajoute la Dpee, le secteur secondaire a eu pendant de longues années la part la plus faible dans les investissements publics, quasi-stable à, en moyenne, 10%, 9% et 10% sur les trois dernières décennies.
A en croire la structure en charge de la prévision et études économiques, la période récente où s’inscrit le Plan Sénégal émergent (Pse), continue d’être marquée par une prédominance des investissements publics dans le secteur quaternaire. Ainsi, souligne-t-elle, le poids de ce secteur dans les dépenses en capital de l’Etat a progressé de 4 points de pourcentage passant, en moyenne, de 41% entre 2008 et 2013 à 45% dans la période de mise en œuvre du Pse (2014- 2018).
Bassirou MBAYE
Par la suite, dit-elle, sur la décennie 1998-2007, les poids du secteur primaire et du tertiaire ont enregistré des baisses importantes respectivement, en moyenne, de l’ordre 9 et 8 points de pourcentage au bénéfice du secteur quaternaire.
Ce qui fait qu’au final, « les deux dernières décennies (1998-2007 et 2008-2017) ont été marquées par un poids prépondérant du secteur quaternaire, soit respectivement 49% et 43% ». En revanche, ajoute la Dpee, le secteur secondaire a eu pendant de longues années la part la plus faible dans les investissements publics, quasi-stable à, en moyenne, 10%, 9% et 10% sur les trois dernières décennies.
A en croire la structure en charge de la prévision et études économiques, la période récente où s’inscrit le Plan Sénégal émergent (Pse), continue d’être marquée par une prédominance des investissements publics dans le secteur quaternaire. Ainsi, souligne-t-elle, le poids de ce secteur dans les dépenses en capital de l’Etat a progressé de 4 points de pourcentage passant, en moyenne, de 41% entre 2008 et 2013 à 45% dans la période de mise en œuvre du Pse (2014- 2018).
Bassirou MBAYE