
512 millions de locuteurs partageant une même langue (700 millions en 2060), 16% du Pib mondial, des pays connaissant de forts taux de croissance, des entreprises de toutes tailles et évoluant dans tous les secteurs d’activités économiques, innovantes et compétitives comptant de nombreux leaders mondiaux. C’est la présentation non exhaustive faite de l’espace économique de langue française.
En effet, à l’ouverture de La rencontre des entrepreneurs francophone (Laref) qui se tient depuis hier à Paris (France), il a été mis en exergue que l’espace économique francophone compte des places financières de première importance, un droit des affaires ayant une base commune, une capacité d’innovation forte et une démographie dynamique avec une population jeune (3/4 des population auront moins de 30 ans en 2060).
Les acteurs, publics comme privés regroupés au sein de cette Rencontre, disent être convaincus que la richesse de la francophonie provient des flux entre leurs entreprises et que ceux-ci doivent croitre avec plus d’échanges commerciaux, plus d’investissements croisés et plus de partenariats. « Notre langue doit être un levier d’opportunités concrètes pour obtenir un financement, réaliser un projet ou accélérer un développement commercial », soutiennent-ils via leur déclaration.
Aussi, disent-ils, nous portons une francophonie d’actions et de solutions. En ce sens, ils expliquent : « Actions par et avec les entreprises privées que nous représentons ; solution par l’insertion des jeunes sur le marché de l’emploi, pour la formation des actifs, pour la création d’entreprises mais aussi propositions sur des défis contemporains. »
Par défis contemporains, ils font allusion au développement urbain responsable, à la transformation numérique maitrisée, au renforcement des infrastructures, à la transition écologique qui préserve les capacités de développement et de croissance, au déploiement d’une Rse adaptées aux réalités locales et au commerce mondial ouvert avec une concurrence loyale. « Nous travaillerons ensemble sur tous les sujets susceptibles de faciliter et accélérer les projets francophones sur ces enjeux. », se sont-ils engagés.
Dans la foulée, ils ont affirmé leur attachement à coopérer, dans un esprit de partage et d’efficacité, avec l’Organisation international de la francophonie (Oif), le Forum francophone des affaires (Ffa), les Etats et collectivités territoriales, les élus, les partenaires techniques et financiers internationaux, les organismes de coopération régionale et internationale, les organisations non gouvernementales ainsi que les organisations des autres grandes zones linguistiques et toutes les composantes de nos sociétés.
Les acteurs ont aussi appelé à une mobilisation des forces économiques francophones dans le cadre du Sommet de Djerba qui se tiendra les 20 et 21 novembre 2021 en Tunisie. Dans cette lancée, ils font savoir qu’un forum économique international sera organisé en marge du sommet politique. « Il sera une étape importante pour prolonger le travail amorcé à Paris et pour porter un agenda économique francophone pour nos entreprises et pour nos populations », rapporte la déclaration.
Dans cette perspective, ils ont manifesté leur joie d’annoncer l’annualisation d’une rencontre économique francophone (Laref) et la transformation du comité de pilotage en une plateforme permanente de dialogue et de coordination des patronats francophones, préfiguration d’une structuration plus profonde de leurs actions à terme.
Bassirou MBAYE
En effet, à l’ouverture de La rencontre des entrepreneurs francophone (Laref) qui se tient depuis hier à Paris (France), il a été mis en exergue que l’espace économique francophone compte des places financières de première importance, un droit des affaires ayant une base commune, une capacité d’innovation forte et une démographie dynamique avec une population jeune (3/4 des population auront moins de 30 ans en 2060).
Les acteurs, publics comme privés regroupés au sein de cette Rencontre, disent être convaincus que la richesse de la francophonie provient des flux entre leurs entreprises et que ceux-ci doivent croitre avec plus d’échanges commerciaux, plus d’investissements croisés et plus de partenariats. « Notre langue doit être un levier d’opportunités concrètes pour obtenir un financement, réaliser un projet ou accélérer un développement commercial », soutiennent-ils via leur déclaration.
Aussi, disent-ils, nous portons une francophonie d’actions et de solutions. En ce sens, ils expliquent : « Actions par et avec les entreprises privées que nous représentons ; solution par l’insertion des jeunes sur le marché de l’emploi, pour la formation des actifs, pour la création d’entreprises mais aussi propositions sur des défis contemporains. »
Par défis contemporains, ils font allusion au développement urbain responsable, à la transformation numérique maitrisée, au renforcement des infrastructures, à la transition écologique qui préserve les capacités de développement et de croissance, au déploiement d’une Rse adaptées aux réalités locales et au commerce mondial ouvert avec une concurrence loyale. « Nous travaillerons ensemble sur tous les sujets susceptibles de faciliter et accélérer les projets francophones sur ces enjeux. », se sont-ils engagés.
Dans la foulée, ils ont affirmé leur attachement à coopérer, dans un esprit de partage et d’efficacité, avec l’Organisation international de la francophonie (Oif), le Forum francophone des affaires (Ffa), les Etats et collectivités territoriales, les élus, les partenaires techniques et financiers internationaux, les organismes de coopération régionale et internationale, les organisations non gouvernementales ainsi que les organisations des autres grandes zones linguistiques et toutes les composantes de nos sociétés.
Les acteurs ont aussi appelé à une mobilisation des forces économiques francophones dans le cadre du Sommet de Djerba qui se tiendra les 20 et 21 novembre 2021 en Tunisie. Dans cette lancée, ils font savoir qu’un forum économique international sera organisé en marge du sommet politique. « Il sera une étape importante pour prolonger le travail amorcé à Paris et pour porter un agenda économique francophone pour nos entreprises et pour nos populations », rapporte la déclaration.
Dans cette perspective, ils ont manifesté leur joie d’annoncer l’annualisation d’une rencontre économique francophone (Laref) et la transformation du comité de pilotage en une plateforme permanente de dialogue et de coordination des patronats francophones, préfiguration d’une structuration plus profonde de leurs actions à terme.
Bassirou MBAYE