
Selon un communiqué de presse, ce fut un moment de partage et de félicitations à ces jeunes leaders, qui, sélectionnés depuis 2020, n’ont pas pu se rendre aux États-Unis à cause de la pandémie de la Covid-19. Vingt-quatre (24) Sénégalais et trois (3) Bissau-Guinéens ont pu prendre part à ce programme, qu’ils ont finalement fait de manière virtuelle de juin à juillet 2021.
La cérémonie était l’occasion de leur remettre leur diplôme en présence d’anciens bénéficiaires du même programme. Maimouna Mbacké, bénéficiaire en 2017 et chargée de communication au Women Investment Club (Wic), a pris la parole pour les encourager à activement contribuer au développement de nos pays. Salif Kanouté a partagé son histoire, avec la co-fondation de « Declic », à son retour des États-Unis en 2016. « DeclicC » est une organisation qui s’active autour du développement communautaire en Casamance.
Abdoulaye Samaté, (année 2021) pense que « le programme ne les a pas sélectionnés à cause de leur nom de famille ou de leur ethnie mais à cause de leur profil de leader ». L’ambassadeur Mushingi, en les félicitant, leur a rappelé ce que George Washington, premier président des États-Unis, avait dit : « 99 % des échecs proviennent des personnes qui trouvent des excuses ». Ces jeunes n’ont pas trouvé d’excuses pour suivre le programme dans un contexte assez particulier.
Des représentants de l’Usaid, de la section économique et des affaires publiques, et du Bureau de liaison de Bissau, ont pris part à la cérémonie.
Pour rappel l'initiative Yali a été créée il y a dix ans par le président Barack Obama, pour investir sur la génération de jeunes leaders africains. Depuis 2014, le programme a formé plus de 5.000 jeunes provenant de 49 pays de l'Afrique Sub-saharienne. Au Sénégal, plus de 170 jeunes ont été formés à travers ce programme, qui a renforcé leurs aptitudes en leadership, ainsi que d’autres jeunes du continent. Nous pouvons citer beaucoup d’exemples de bénéficiaires comme Awa Caba, fondatrice de Soreetul, Sobel Aziz Ngom co-fondateur du Consortium jeunesse Sénégal, et Babacar Birane, co-fondateur de Concree.
Adou Faye
La cérémonie était l’occasion de leur remettre leur diplôme en présence d’anciens bénéficiaires du même programme. Maimouna Mbacké, bénéficiaire en 2017 et chargée de communication au Women Investment Club (Wic), a pris la parole pour les encourager à activement contribuer au développement de nos pays. Salif Kanouté a partagé son histoire, avec la co-fondation de « Declic », à son retour des États-Unis en 2016. « DeclicC » est une organisation qui s’active autour du développement communautaire en Casamance.
Abdoulaye Samaté, (année 2021) pense que « le programme ne les a pas sélectionnés à cause de leur nom de famille ou de leur ethnie mais à cause de leur profil de leader ». L’ambassadeur Mushingi, en les félicitant, leur a rappelé ce que George Washington, premier président des États-Unis, avait dit : « 99 % des échecs proviennent des personnes qui trouvent des excuses ». Ces jeunes n’ont pas trouvé d’excuses pour suivre le programme dans un contexte assez particulier.
Des représentants de l’Usaid, de la section économique et des affaires publiques, et du Bureau de liaison de Bissau, ont pris part à la cérémonie.
Pour rappel l'initiative Yali a été créée il y a dix ans par le président Barack Obama, pour investir sur la génération de jeunes leaders africains. Depuis 2014, le programme a formé plus de 5.000 jeunes provenant de 49 pays de l'Afrique Sub-saharienne. Au Sénégal, plus de 170 jeunes ont été formés à travers ce programme, qui a renforcé leurs aptitudes en leadership, ainsi que d’autres jeunes du continent. Nous pouvons citer beaucoup d’exemples de bénéficiaires comme Awa Caba, fondatrice de Soreetul, Sobel Aziz Ngom co-fondateur du Consortium jeunesse Sénégal, et Babacar Birane, co-fondateur de Concree.
Adou Faye