
‘’Pour donner les meilleures chances à ce pacte de réussir, il faut bâtir une relation de confiance. Et cela nécessite une politique de transparence au niveau macroéconomique dans la gestion des biens publics et microéconomique pour que, dans les entreprises, le patronat puisse donner aux travailleurs le minimum d’information économique’’, a-t-il dit, à l’ouverture de la conférence sociale.
En effet, selon Mody Guiro qui a pris la parole devant le chef de l’Etat au nom des travailleurs, ''il y a des préalables à l’instauration de ce pacte social''.
‘’On ne peut pas demander aux gens de faire des sacrifices et en retour ne pas leur donner toutes les informations nécessaires. C’est une base essentielle pour que les conditions de transparence puissent être acceptées par tous’’, a-t-il ajouté.
Le chef de l’Etat a interpellé les travailleurs sur leur rôle et leurs missions et sur la soutenabilité des revendications par rapport au budget de l’Etat.
Mais pour le représentant des travailleurs à la conférence sociale, ''il n’y a pas que des fonctionnaires de l’Etat dans la salle, il y a également les travailleurs du secteur privé pour lesquels il y a des revendications légitimes''.
‘’Il faut laisser aux syndicats la possibilité de s’organiser, d’élire librement leurs représentants et également permettre aux chefs d’entreprise de respecter le droit du travail sur le plan salarial, contrat de travail acquittement au niveau des cotisations sociales. Ce sont des préalables’’, a-t-il dit.
Pour Mody Guiro, ‘’il s’agit aussi de voir comment faire pour que ces travailleurs voient certaines revendications réglées’’.
‘’Il y a eu des efforts de l’Etat avec la baisse sur la fiscalité, la baisse des loyers. Mais nous voulons que l’Etat puisse aller plus loin avec la réduction des prix des denrées alimentaires, de l’électricité et de l’eau et supprimer cette inégalité inacceptable, à savoir la retraite à 60 ans qui n’est pas effective dans le secteur privé’’, a dit Guiro.
Représentant les employeurs à l’ouverture de la conférence axée sur le ‘’dialogue social, travail décent et compétitivité’’, Baidy Agne, président du Conseil national du patronat (CNP) a relevé ''un tripartisme uni et républicain qui permet aujourd’hui de définir une feuille de route sociale du Plan Sénégal émergent''.
Pour M. Agne, ''il faut aller chercher la croissance économique dans un nouveau pacte social''.
Organisée par le ministère de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles, la conférence devrait déboucher à la clôture mardi sur une signature d’un pacte de stabilité sociale pour l’émergence économique.
APS
En effet, selon Mody Guiro qui a pris la parole devant le chef de l’Etat au nom des travailleurs, ''il y a des préalables à l’instauration de ce pacte social''.
‘’On ne peut pas demander aux gens de faire des sacrifices et en retour ne pas leur donner toutes les informations nécessaires. C’est une base essentielle pour que les conditions de transparence puissent être acceptées par tous’’, a-t-il ajouté.
Le chef de l’Etat a interpellé les travailleurs sur leur rôle et leurs missions et sur la soutenabilité des revendications par rapport au budget de l’Etat.
Mais pour le représentant des travailleurs à la conférence sociale, ''il n’y a pas que des fonctionnaires de l’Etat dans la salle, il y a également les travailleurs du secteur privé pour lesquels il y a des revendications légitimes''.
‘’Il faut laisser aux syndicats la possibilité de s’organiser, d’élire librement leurs représentants et également permettre aux chefs d’entreprise de respecter le droit du travail sur le plan salarial, contrat de travail acquittement au niveau des cotisations sociales. Ce sont des préalables’’, a-t-il dit.
Pour Mody Guiro, ‘’il s’agit aussi de voir comment faire pour que ces travailleurs voient certaines revendications réglées’’.
‘’Il y a eu des efforts de l’Etat avec la baisse sur la fiscalité, la baisse des loyers. Mais nous voulons que l’Etat puisse aller plus loin avec la réduction des prix des denrées alimentaires, de l’électricité et de l’eau et supprimer cette inégalité inacceptable, à savoir la retraite à 60 ans qui n’est pas effective dans le secteur privé’’, a dit Guiro.
Représentant les employeurs à l’ouverture de la conférence axée sur le ‘’dialogue social, travail décent et compétitivité’’, Baidy Agne, président du Conseil national du patronat (CNP) a relevé ''un tripartisme uni et républicain qui permet aujourd’hui de définir une feuille de route sociale du Plan Sénégal émergent''.
Pour M. Agne, ''il faut aller chercher la croissance économique dans un nouveau pacte social''.
Organisée par le ministère de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles, la conférence devrait déboucher à la clôture mardi sur une signature d’un pacte de stabilité sociale pour l’émergence économique.
APS