Le Sénégal vise ainsi un taux de prévalence de la planification familiale de 45%. «Le Sénégal a fait des performances remarquables pour avoir doublé le taux de prévalence contraceptive en 3 ans pour atteindre 21% en 2016 contre 12% en 2010. Toutefois les défis sont nombreux, l’objectif du cadre stratégique national de planification familiale 2016/2020 est d’atteindre 45 % de taux de prévalence contraceptive. Avec 25 % des femmes actuellement en union , qui ont des besoins non satisfaits en matière de planification familiale, la prévalence pourrait atteindre 49 % si tous ces besoins étaient répondus», selon le représentant résident du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA), Moussa Faye.
Le Directeur général de la planification et des politiques économique Pierre Ndiaye, au nom du ministre de l‘Economie a rappelé qu’environ 225 millions de femmes qui souhaitent éviter ou retarder une grossesse n’en ont pas les possibilités car elles n’ont pas accès aux informations et aux services nécessaires ou ne sont pas soutenues par leur partenaire ou leur communauté. Ces femmes dont les besoins en contraceptions ne sont pas satisfaits vivent pour la plupart dans les 69 pays les plus pauvres du monde. «En Afrique 23,5% des femmes en âge de procréer ont un besoin non satisfait. La Conférence de haut niveau sur la Planification tenue à Ouagadougou en février 2011 a été une étape déterminante qui a permis la création du ‘’Partenariat de Ouagadougou’’ qui regroupe 09 pays d’Afrique francophone de l’ouest dont le Sénégal et leurs Partenaires financiers. Ce réseau a posé d’important actes afin d’accélérer les progrès dans l’utilisation des services de Planification dans ces pays», poursuit le Directeur général de la Planification et des Politiques Economiques.
Tidiane Diouf
Le Directeur général de la planification et des politiques économique Pierre Ndiaye, au nom du ministre de l‘Economie a rappelé qu’environ 225 millions de femmes qui souhaitent éviter ou retarder une grossesse n’en ont pas les possibilités car elles n’ont pas accès aux informations et aux services nécessaires ou ne sont pas soutenues par leur partenaire ou leur communauté. Ces femmes dont les besoins en contraceptions ne sont pas satisfaits vivent pour la plupart dans les 69 pays les plus pauvres du monde. «En Afrique 23,5% des femmes en âge de procréer ont un besoin non satisfait. La Conférence de haut niveau sur la Planification tenue à Ouagadougou en février 2011 a été une étape déterminante qui a permis la création du ‘’Partenariat de Ouagadougou’’ qui regroupe 09 pays d’Afrique francophone de l’ouest dont le Sénégal et leurs Partenaires financiers. Ce réseau a posé d’important actes afin d’accélérer les progrès dans l’utilisation des services de Planification dans ces pays», poursuit le Directeur général de la Planification et des Politiques Economiques.
Tidiane Diouf