Il informe que la décision stratégique d’implémentation du Sigif était une des mesures phares de processus de mise en œuvre des réformes budgétaire et comptable de l’Etat découlant du nouveau cadre harmonisé de gestion des finances publiques dans les pays de l’Uemoa. Ce cadre, note Bassirou Sarr, fondé sur les principes de performance et de transparence à travers notamment, le budget-programme et la comptabilité patrimoniale en droits constatés, rendait obsolètes les applications en place. «C’est dire aujourd’hui, que l’un des piliers majeurs de notre stratégie de modernisation des finances publiques est le Sigif.
Il constitue le socle d’une administration financière numérique, intégrée et sécurisée, capable de piloter l’ensemble de la chaîne budgétaire, comptable et fiscale dans un écosystème cohérent et interconnecté », a affirmé le directeur de cabinet du ministre des Finances. Selon Bassirou Sarr, ce système intègre les meilleures technologies : une infrastructure modernisée et sécurisée, une interopérabilité avec les systèmes existants :fiscalité, douane, paie, une traçabilité en temps réel des flux financiers, des portails digitaux pour l’ensemble des acteurs de la chaîne financière. À l’heure où l’intelligence de la donnée devient un levier central de gouvernance, souligne Bassirou Sarr, le Sigif permettra des « reportings » automatisés, des tableaux de bord de pilotage en temps réel et une capacité accrue d’anticipation et d’analyse au service de la décision publique. «Avec le Sigif, le Sénégal se dote d’une plateforme conforme aux standards internationaux de gestion des finances publiques, en cohérence avec les normes de l’Uemoa et les recommandations des institutions financières internationales », a dit M. Sarr.
Il a fait savoir que le succès d’une réforme de cette ampleur repose sur une gouvernance claire, rigoureuse et efficace. C’est pourquoi, autour du Sigif, une gouvernance structurée a été mise en place, pilotée par la Cellule dédiée au sein du Ministère des Finances et du Budget, en collaboration avec la Direction générale de la comptabilité publique et du trésor.
Bassirou Sarr informe que le Sigif mobilisera plus de 1 500 experts, fonctionnaires et techniciens à travers des chantiers successifs, qui démarrent dès aujourd’hui et se poursuivront au cours des prochaines années.
Adou FAYE
Il constitue le socle d’une administration financière numérique, intégrée et sécurisée, capable de piloter l’ensemble de la chaîne budgétaire, comptable et fiscale dans un écosystème cohérent et interconnecté », a affirmé le directeur de cabinet du ministre des Finances. Selon Bassirou Sarr, ce système intègre les meilleures technologies : une infrastructure modernisée et sécurisée, une interopérabilité avec les systèmes existants :fiscalité, douane, paie, une traçabilité en temps réel des flux financiers, des portails digitaux pour l’ensemble des acteurs de la chaîne financière. À l’heure où l’intelligence de la donnée devient un levier central de gouvernance, souligne Bassirou Sarr, le Sigif permettra des « reportings » automatisés, des tableaux de bord de pilotage en temps réel et une capacité accrue d’anticipation et d’analyse au service de la décision publique. «Avec le Sigif, le Sénégal se dote d’une plateforme conforme aux standards internationaux de gestion des finances publiques, en cohérence avec les normes de l’Uemoa et les recommandations des institutions financières internationales », a dit M. Sarr.
Il a fait savoir que le succès d’une réforme de cette ampleur repose sur une gouvernance claire, rigoureuse et efficace. C’est pourquoi, autour du Sigif, une gouvernance structurée a été mise en place, pilotée par la Cellule dédiée au sein du Ministère des Finances et du Budget, en collaboration avec la Direction générale de la comptabilité publique et du trésor.
Bassirou Sarr informe que le Sigif mobilisera plus de 1 500 experts, fonctionnaires et techniciens à travers des chantiers successifs, qui démarrent dès aujourd’hui et se poursuivront au cours des prochaines années.
Adou FAYE