
«Considérée en effet, comme le modèle le plus achevé en matière d’intégration boursière, il est une source d’inspiration pour d’autres régions de notre continent et du monde. Je formule le souhait également qu’il soit un modèle d’adaptation pour la région Cedeao », a déclaré Mamadou Ndiaye.
«Le marché financier de l’Umoa, c’est actuellement Plus de 9 500 milliards de FCFA de ressources mobilisées, passant d’une moyenne annuelle de 300 milliards de FCFA entre 2000 et 2015 à plus de 1 000 milliards de FCFA au cours des quatre (04) dernières années ; quarante-six (46) sociétés cotées à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières pour une capitalisation boursière du marché des actions de plus de 4 200 milliards de FCFA et une capitalisation obligataire d’environ 4 000 milliards de FCFA au 30 septembre 2019 ; 46 lignes obligataires dont 4 sukuks qui font d’elle la première place boursière islamique du continent ; 212 acteurs agréés au 30 septembre 2019 », a révélé M. Ndiaye.
Selon lui, à l’instar des autres marchés financiers, il participe à la mobilisation de l’épargne longue disponible pour l’orienter vers des investissements productifs dont justement les infrastructures.
Pour relever les défis liés au développement du marché financier régional, le Conseil régional entend intensifier, au cours des prochaines années, ses actions de réformes pour un meilleur financement des économies de l'Umoa.
Adou FAYE
«Le marché financier de l’Umoa, c’est actuellement Plus de 9 500 milliards de FCFA de ressources mobilisées, passant d’une moyenne annuelle de 300 milliards de FCFA entre 2000 et 2015 à plus de 1 000 milliards de FCFA au cours des quatre (04) dernières années ; quarante-six (46) sociétés cotées à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières pour une capitalisation boursière du marché des actions de plus de 4 200 milliards de FCFA et une capitalisation obligataire d’environ 4 000 milliards de FCFA au 30 septembre 2019 ; 46 lignes obligataires dont 4 sukuks qui font d’elle la première place boursière islamique du continent ; 212 acteurs agréés au 30 septembre 2019 », a révélé M. Ndiaye.
Selon lui, à l’instar des autres marchés financiers, il participe à la mobilisation de l’épargne longue disponible pour l’orienter vers des investissements productifs dont justement les infrastructures.
Pour relever les défis liés au développement du marché financier régional, le Conseil régional entend intensifier, au cours des prochaines années, ses actions de réformes pour un meilleur financement des économies de l'Umoa.
Adou FAYE