
« Ces emplois ne concernent pas seulement les opérateurs mais également les fournisseurs et sous-traitants qui donnent du matériel à l’industrie des télécommunications », a-t-il ajouté.
Selon lui, « des emplois indirects s’y ajoutent du point de vue du développement économique avec l’adoption des technologies des communications par les entreprises ».
Il se prononçait en marge d’un atelier de restitution d’une étude sur l’impact des télécommunications sur l’économie au Sénégal.
« Au Sénégal ou l’adoption des mobiles a atteint un niveau presque de 90% et l’adoption des hauts débits de mobiles à un niveau de 500 000 lignes constituent en général les effets des emplois indirects », a-t-il fait savoir.
« Cela veut dire qu’en devenant plus productif le secteur des télécommunications contribue à la croissance économique car la part des technologies de communications s’élève à 23% de la croissance du pays », a expliqué M .Katz.
Il poursuit que « le haut débit mobile s’est développé au Sénégal avant d’autre pays comme par exemple la Côte d’Ivoire qui est en retard par rapport au Sénégal ».
Par rapport à cette étude, Raul Katz a rappelé qu’une étude similaire a été faite au Niger, au Mali et en Côte d’Ivoire mais l’impact économique est beaucoup plus grand au Sénégal que dans les autres pays francophones de l’Afrique.
Ndeye Maguette Kébé
Selon lui, « des emplois indirects s’y ajoutent du point de vue du développement économique avec l’adoption des technologies des communications par les entreprises ».
Il se prononçait en marge d’un atelier de restitution d’une étude sur l’impact des télécommunications sur l’économie au Sénégal.
« Au Sénégal ou l’adoption des mobiles a atteint un niveau presque de 90% et l’adoption des hauts débits de mobiles à un niveau de 500 000 lignes constituent en général les effets des emplois indirects », a-t-il fait savoir.
« Cela veut dire qu’en devenant plus productif le secteur des télécommunications contribue à la croissance économique car la part des technologies de communications s’élève à 23% de la croissance du pays », a expliqué M .Katz.
Il poursuit que « le haut débit mobile s’est développé au Sénégal avant d’autre pays comme par exemple la Côte d’Ivoire qui est en retard par rapport au Sénégal ».
Par rapport à cette étude, Raul Katz a rappelé qu’une étude similaire a été faite au Niger, au Mali et en Côte d’Ivoire mais l’impact économique est beaucoup plus grand au Sénégal que dans les autres pays francophones de l’Afrique.
Ndeye Maguette Kébé