Depuis les années, le continent africain est à la peine pour décoller. Mais elle ne manque d’arguments. Selon le Dr Andrew Norton, le Directeur de l'Institut international pour l'environnement et le développement (IIED), l'Afrique a indubitablement besoin de s'appuyer sur son secteur privé, afin d'engager le continent sur la voie d'un développement durable, à faible émission de carbone.
Prenant part à un panel sur le changement climatique en Afrique, il pense qu'il est aujourd'hui important que les gouvernements africains offrent un environnement propice et fiable pour l'investissement, et que les mécanismes de marché et de financement proposés, soient adaptés aux besoins de l'Afrique. Il déclare que les Pays les Moins avancés doivent être mieux ciblés, afin de mieux orienter les financements.
Pour sa part, Kurt Lonsway, le chef de la division de l'environnement et du changement climatique de la BAD, estime que son Institution est consciente que l'investissement du secteur privé dans l'action climatique est crucial pour avoir un impact transformationnel. C'est pourquoi, poursuit-il, la Banque africaine de développement ainsi que ses partenaires sont fermement décidés à promouvoir l'investissement, et à améliorer l'environnement de manière à renforcer l'engagement du secteur privé africain.
Pour Lord Nicholas Stern le président de l'Institut de recherche Grantham sur le changement climatique et l'environnement, l'Afrique a plus que jamais besoin de rechercher des financements innovants. Il cite à titre d'exemple le cas de l'Ethiopie en faisant référence à son défunt leader Meles Zenawi, pour sa clairvoyance dans la recherche des financements pour le développement infrastructurel de son pays. Il cite par ailleurs les BRICS et l'Asie, comme sources à partir desquelles l'Afrique peut continuer d'obtenir les financements pour son développement.
Pathé TOURE
Prenant part à un panel sur le changement climatique en Afrique, il pense qu'il est aujourd'hui important que les gouvernements africains offrent un environnement propice et fiable pour l'investissement, et que les mécanismes de marché et de financement proposés, soient adaptés aux besoins de l'Afrique. Il déclare que les Pays les Moins avancés doivent être mieux ciblés, afin de mieux orienter les financements.
Pour sa part, Kurt Lonsway, le chef de la division de l'environnement et du changement climatique de la BAD, estime que son Institution est consciente que l'investissement du secteur privé dans l'action climatique est crucial pour avoir un impact transformationnel. C'est pourquoi, poursuit-il, la Banque africaine de développement ainsi que ses partenaires sont fermement décidés à promouvoir l'investissement, et à améliorer l'environnement de manière à renforcer l'engagement du secteur privé africain.
Pour Lord Nicholas Stern le président de l'Institut de recherche Grantham sur le changement climatique et l'environnement, l'Afrique a plus que jamais besoin de rechercher des financements innovants. Il cite à titre d'exemple le cas de l'Ethiopie en faisant référence à son défunt leader Meles Zenawi, pour sa clairvoyance dans la recherche des financements pour le développement infrastructurel de son pays. Il cite par ailleurs les BRICS et l'Asie, comme sources à partir desquelles l'Afrique peut continuer d'obtenir les financements pour son développement.
Pathé TOURE