
Mbagnik Diop, président du Mouvement des Entreprises du Sénégal (MEDS
« L’innovation a été à la base de toutes les avancées ayant permis à notre monde d’évoluer pour devenir ce qu’il est aujourd’hui .Mais comme nous le savons, le progrès de connaît pas de limites, et même s’il devait en avoir en ce qui concerne l’Afrique notamment, elle se trouverait bien loin car notre continent accuse des retards certains » a-t-il dit auparavant.
Il s’exprimait en marge d’un colloque internationale sur le thème « Innovation et croissance dans les pays non exportateurs de matières premières : le cas du Sénégal ».
Selon M.Diop « l’exemple de l’économie de la connaissance est un indicateur devant permettre aux décideurs économiques comme politiques de gérer leur capital immatériel ».
« Nous pouvons retenir une conceptualisation du capital immatériel intégrant à la fois le capital humain, la bonne gouvernance, le capital social, le capital relationnel et le capital structurel », a-t-il indiqué.
Selon lui, « Dans un contexte encore marqué par la crise économique financière de 2008 et par une demande sociale croissante, il devient urgent d’apporter les réponses rapides et adéquates aux nombreux défis qui s’imposent ».
« Les ambitions de notre pays sont grandes et elles sont réalistes et réalisables .Nous avons la volonté d’aller de l’avant et nous possédons, dans différents secteurs d’activités des professionnels aguerris aptes à les porter », a-t-il poursuit.
D’après le président du MEDS « des composantes de l’innovation et la mondialisation impacte de manière considérable les mutations dans nos pays, contraignants nos dirigeants et nos entrepreneurs à s’adapter plus rapidement aux nouvelles exigences de marchés fortement tendus et soumis à une rude concurrence. Nous n’avons guère, d’autre choix que celui d’innover ».
Soulignant que « l’arrivée à maturité du numérique, l’augmentation de la circulation mondiale des composantes de l’innovation font de celle-ci l’une des conditions majeurs de la survie des entreprises et des économies ».
« En outre l’intégration totale du concept d’innovation dans les réflexions à venir est d’autant plus importante que le développement économique constitue un gage de stabilité sociale et politique », a conclu M.Diop.
Ndeye Maguette Kébé
Il s’exprimait en marge d’un colloque internationale sur le thème « Innovation et croissance dans les pays non exportateurs de matières premières : le cas du Sénégal ».
Selon M.Diop « l’exemple de l’économie de la connaissance est un indicateur devant permettre aux décideurs économiques comme politiques de gérer leur capital immatériel ».
« Nous pouvons retenir une conceptualisation du capital immatériel intégrant à la fois le capital humain, la bonne gouvernance, le capital social, le capital relationnel et le capital structurel », a-t-il indiqué.
Selon lui, « Dans un contexte encore marqué par la crise économique financière de 2008 et par une demande sociale croissante, il devient urgent d’apporter les réponses rapides et adéquates aux nombreux défis qui s’imposent ».
« Les ambitions de notre pays sont grandes et elles sont réalistes et réalisables .Nous avons la volonté d’aller de l’avant et nous possédons, dans différents secteurs d’activités des professionnels aguerris aptes à les porter », a-t-il poursuit.
D’après le président du MEDS « des composantes de l’innovation et la mondialisation impacte de manière considérable les mutations dans nos pays, contraignants nos dirigeants et nos entrepreneurs à s’adapter plus rapidement aux nouvelles exigences de marchés fortement tendus et soumis à une rude concurrence. Nous n’avons guère, d’autre choix que celui d’innover ».
Soulignant que « l’arrivée à maturité du numérique, l’augmentation de la circulation mondiale des composantes de l’innovation font de celle-ci l’une des conditions majeurs de la survie des entreprises et des économies ».
« En outre l’intégration totale du concept d’innovation dans les réflexions à venir est d’autant plus importante que le développement économique constitue un gage de stabilité sociale et politique », a conclu M.Diop.
Ndeye Maguette Kébé