
Au Sénégal, souligne un communiqué, le secteur de la Pêche et de l’Economie maritime joue un rôle primordial dans le développement de l’économie sénégalaise. Avec une ouverture sur l’océan atlantique de près de 700 km de côte, le Sénégal dispose d’une flotte nationale de trois cent cinquante sept (357) navires sénégalais.
En 2015, le nombre d’inscrits maritimes recensés par l’Agence nationale des Affaires maritimes est estimé à environ 50 000. La même source note que seulement environ 5050 marins sénégalais sont embarqués à bord des navires sénégalais et environ 700 marins sénégalais sont embarqués à l’étranger, à bord de navires battant pavillons étrangers.
Parallèlement, il s’y ajoute les activités de Pêche artisanale où l’option de l’Etat consiste à la professionnalisation des pêcheurs et des embarcations non pontées.
Il se pose alors un réel problème pour tous ces nombreux inscrits maritimes qui se retrouvent sans emploi ou embarcation formelle. De plus, il faut noter, par ailleurs, que le nombre d’Officiers formés chaque année par l’Ecole nationale de Formation maritime (ENFM) et l’entrée timide, mais de plus en plus remarquée des femmes dans la profession maritime renforcent considérablement cette massification de la profession maritime au Sénégal.
Face à cette situation, note-le communiqué, il devient impératif d’identifier et de promouvoir toutes les nouvelles opportunités qui s’offrent au secteur de la Pêche et de l’Economie maritime, notamment, dans le cadre de la diversification des nouvelles filières identifiées comme porteuses de croissance.
Pathé TOURE
En 2015, le nombre d’inscrits maritimes recensés par l’Agence nationale des Affaires maritimes est estimé à environ 50 000. La même source note que seulement environ 5050 marins sénégalais sont embarqués à bord des navires sénégalais et environ 700 marins sénégalais sont embarqués à l’étranger, à bord de navires battant pavillons étrangers.
Parallèlement, il s’y ajoute les activités de Pêche artisanale où l’option de l’Etat consiste à la professionnalisation des pêcheurs et des embarcations non pontées.
Il se pose alors un réel problème pour tous ces nombreux inscrits maritimes qui se retrouvent sans emploi ou embarcation formelle. De plus, il faut noter, par ailleurs, que le nombre d’Officiers formés chaque année par l’Ecole nationale de Formation maritime (ENFM) et l’entrée timide, mais de plus en plus remarquée des femmes dans la profession maritime renforcent considérablement cette massification de la profession maritime au Sénégal.
Face à cette situation, note-le communiqué, il devient impératif d’identifier et de promouvoir toutes les nouvelles opportunités qui s’offrent au secteur de la Pêche et de l’Economie maritime, notamment, dans le cadre de la diversification des nouvelles filières identifiées comme porteuses de croissance.
Pathé TOURE