«Si la Femme est dotée de ressources nécessaires, elle est prête à améliorer la qualité de sa vie et celle de ses enfants», dit la Première dame du Mali.
Selon elle, l’éducation joue un rôle clé dans les progrès pour atteindre l’égalité des sexes. Elle permet d’émanciper les filles, leur apporter les compétences et connaissances nécessaires pour rester en bonne santé, être en capacité de prendre des décisions quant à leur vie, sécuriser un emploi mieux rémunéré et être actives dans le développement de leur communauté et de la société en générale.
«L’éducation de la fille est donc un droit humain fondamental et une exigence pour le développement harmonieux de nos pays. Donner à nos sœurs et à nos filles, la chance d’acquérir un minimum de savoir et de savoir-faire», poursuit-elle.
Toutefois, indique-t-elle, en dépit des progrès notoires, il est aisé de constater que les femmes et les jeunes filles restent victimes d’inégalités dans des formes à la fois perverses. Beaucoup de filles n’ont pas la chance d’aller à l’école et celles qui y ont accès n’arrivent pas toutes à achever le niveau fondamental pour de multiples raisons parmi lesquelles les contraintes socioculturelles occupent une place prépondérante.
Ismaila Ba, Envoyé spécial à Bamako
Selon elle, l’éducation joue un rôle clé dans les progrès pour atteindre l’égalité des sexes. Elle permet d’émanciper les filles, leur apporter les compétences et connaissances nécessaires pour rester en bonne santé, être en capacité de prendre des décisions quant à leur vie, sécuriser un emploi mieux rémunéré et être actives dans le développement de leur communauté et de la société en générale.
«L’éducation de la fille est donc un droit humain fondamental et une exigence pour le développement harmonieux de nos pays. Donner à nos sœurs et à nos filles, la chance d’acquérir un minimum de savoir et de savoir-faire», poursuit-elle.
Toutefois, indique-t-elle, en dépit des progrès notoires, il est aisé de constater que les femmes et les jeunes filles restent victimes d’inégalités dans des formes à la fois perverses. Beaucoup de filles n’ont pas la chance d’aller à l’école et celles qui y ont accès n’arrivent pas toutes à achever le niveau fondamental pour de multiples raisons parmi lesquelles les contraintes socioculturelles occupent une place prépondérante.
Ismaila Ba, Envoyé spécial à Bamako