Selon un communiqué de presse du Fida, le séjour des parlementaires français au Sénégal, fait ainsi suite à une visite virtuelle de terrain organisée par le Fida, le 25 novembre dernier, pour découvrir la durabilité et l’impact de ses investissements sur les populations rurales les plus vulnérables des régions de Kaolack, Kaffrine, Diourbel, Louga et Fatick, à travers le Projet d’appui aux filières agricoles (Pafa) clôturé il y a quelques années.
A l’occasion de son séjour à Dakar, Jean FrançaisMbaye « a invité le gouvernement sénégalais à se doter d’une loi d’orientation qui garantisse la protection des terres agricoles, en particulier dans la zone des Niayes ». Car, selon le député du Val-de-Marne « on ne peut pas aspirer à un agriculture rentable ou autosuffisante si la question de la protection des terres agricoles n’est pas réglée ».
Benoît Thierry, ces visites montrent l’intérêt de la solidarité internationale. En ce sens, il encourage les gouvernements à développer des politiques qui aident l’agriculture familiale à long terme. C’est pourquoi, indique représentant du Fida en Afrique de l’ouest « le Fida, la Banque africaine de développement (Bad) et le gouvernement sénégalais ont investi dans la création d'emplois et de revenus décents pour les jeunes au Sénégal, à travers le Projet Agri-jeunes Tekki Ndawñi qui cible les jeunes ruraux de 15 à 35 ans ».
Les deux députés français en séjour au Sénégal, d’après le document, étaient accompagnés par Benoît Thierry, représentant sous régional du Fida, pour visiter les zones appuyées par le Fonds et leur impact sur les populations rurales. Il confie dans la foulée que la délégation a aussi eu une séance de travail,dimanche dernier, avec les membres de la Fédération des producteurs maraichers des Niayes et le Conseil national de concertation et de coopération des ruraux (Cncr), le dimanche 6 décembre. « Les discussions ont porté sur les réalisations et les défis quotidiens que relèvent les petits producteurs », rapporte le texte.
A l’en croire, la visite de terrain a permis aux députés de constater un accroissement de la sécurité alimentaire des populations rurales ayant participé aux projets appuyés par le Fida dans le pays. « Ils ont aussi noté des gains importants en termes de quantités produites, de valeur des récoltes vendues, de rendements et d'indicateurs de revenus, chez les petits producteurs, et en particulier les femmes et les jeunes de ces communautés », confie enfin le communiqué de presse.
Bassirou MBAYE
A l’occasion de son séjour à Dakar, Jean FrançaisMbaye « a invité le gouvernement sénégalais à se doter d’une loi d’orientation qui garantisse la protection des terres agricoles, en particulier dans la zone des Niayes ». Car, selon le député du Val-de-Marne « on ne peut pas aspirer à un agriculture rentable ou autosuffisante si la question de la protection des terres agricoles n’est pas réglée ».
Benoît Thierry, ces visites montrent l’intérêt de la solidarité internationale. En ce sens, il encourage les gouvernements à développer des politiques qui aident l’agriculture familiale à long terme. C’est pourquoi, indique représentant du Fida en Afrique de l’ouest « le Fida, la Banque africaine de développement (Bad) et le gouvernement sénégalais ont investi dans la création d'emplois et de revenus décents pour les jeunes au Sénégal, à travers le Projet Agri-jeunes Tekki Ndawñi qui cible les jeunes ruraux de 15 à 35 ans ».
Les deux députés français en séjour au Sénégal, d’après le document, étaient accompagnés par Benoît Thierry, représentant sous régional du Fida, pour visiter les zones appuyées par le Fonds et leur impact sur les populations rurales. Il confie dans la foulée que la délégation a aussi eu une séance de travail,dimanche dernier, avec les membres de la Fédération des producteurs maraichers des Niayes et le Conseil national de concertation et de coopération des ruraux (Cncr), le dimanche 6 décembre. « Les discussions ont porté sur les réalisations et les défis quotidiens que relèvent les petits producteurs », rapporte le texte.
A l’en croire, la visite de terrain a permis aux députés de constater un accroissement de la sécurité alimentaire des populations rurales ayant participé aux projets appuyés par le Fida dans le pays. « Ils ont aussi noté des gains importants en termes de quantités produites, de valeur des récoltes vendues, de rendements et d'indicateurs de revenus, chez les petits producteurs, et en particulier les femmes et les jeunes de ces communautés », confie enfin le communiqué de presse.
Bassirou MBAYE