Le sac d’oignon coûte actuellement 7500 francs CFA soit 450 f le kilogramme alors que le prix était à 6000 F CFA au début du mois ramadan, a indiqué Mamadou Diallo, grossiste au marché de Tiléne.
Ce grossiste justifie la hausse par la rareté de l’oignon dû à la fin de la saison sèche. Les cultivateurs sont plus préoccupés en cette période, par la culture des céréales tels que le mil, le maïs, l’arachide … Il s’y ajoute le fait que le marché sénégalais est fermé à l’importation jusqu’à écoulement des stocks disponibles ».
Pour la pomme de terre, la consommation locale est importée du Maroc et de la Hollande et le sac de pomme de terre importée coûte 9000 francs CFA ‘’a-t-il expliqué.
L’Etat est invité ainsi, à réguler les prix pour permettre aux détaillants d’en tirer profit ‘’, d’après Amadou Barry, un vendeur de détail.
Parce que selon lui ,’’ si le sac est acheté à 7500 francs, les détaillants sont obligés de vendre à 450 FCFA le kilogramme pour pouvoir s’en sortir, ce que la plupart des acheteurs jugent trop cher’’.
Les consommateurs pointent du doigt l’Etat du Sénégal sur la flambée des prix constatés à chaque approche de la fête. Pour Amsatou fall, venue se ravitailler pour éviter les bousculades attendues dans les prochains jours, l’Etat devrait diminuer les prix afin d’aider les consommateurs à s’approvisionner facilement surtout en cette période afin de permettre aux populations de mieux sentir la fête, car si les coûts sont élevés, on risque de retrouver dans nos plats que ce que l’on juge essentiel’’
Trouvée entrain de marchander des légumes , Marieme Samba pour sa part, pense que ‘’Certaines personnes ne parle que de la cherté de l’oignon et la pomme de terre mais il faut mettre l’accent aussi sur les autres condiments qui accompagnent le menu le jour de la fête à savoir les poivrons, les piments verts , oignons verts et autres dont leur cherté s’explique par la rareté de ces derniers en cette saison où les yeux sont tournés vers d’autres cultures.
Ndeye Maguette Kébé
Ce grossiste justifie la hausse par la rareté de l’oignon dû à la fin de la saison sèche. Les cultivateurs sont plus préoccupés en cette période, par la culture des céréales tels que le mil, le maïs, l’arachide … Il s’y ajoute le fait que le marché sénégalais est fermé à l’importation jusqu’à écoulement des stocks disponibles ».
Pour la pomme de terre, la consommation locale est importée du Maroc et de la Hollande et le sac de pomme de terre importée coûte 9000 francs CFA ‘’a-t-il expliqué.
L’Etat est invité ainsi, à réguler les prix pour permettre aux détaillants d’en tirer profit ‘’, d’après Amadou Barry, un vendeur de détail.
Parce que selon lui ,’’ si le sac est acheté à 7500 francs, les détaillants sont obligés de vendre à 450 FCFA le kilogramme pour pouvoir s’en sortir, ce que la plupart des acheteurs jugent trop cher’’.
Les consommateurs pointent du doigt l’Etat du Sénégal sur la flambée des prix constatés à chaque approche de la fête. Pour Amsatou fall, venue se ravitailler pour éviter les bousculades attendues dans les prochains jours, l’Etat devrait diminuer les prix afin d’aider les consommateurs à s’approvisionner facilement surtout en cette période afin de permettre aux populations de mieux sentir la fête, car si les coûts sont élevés, on risque de retrouver dans nos plats que ce que l’on juge essentiel’’
Trouvée entrain de marchander des légumes , Marieme Samba pour sa part, pense que ‘’Certaines personnes ne parle que de la cherté de l’oignon et la pomme de terre mais il faut mettre l’accent aussi sur les autres condiments qui accompagnent le menu le jour de la fête à savoir les poivrons, les piments verts , oignons verts et autres dont leur cherté s’explique par la rareté de ces derniers en cette saison où les yeux sont tournés vers d’autres cultures.
Ndeye Maguette Kébé