Le jeudi 7 décembre, la Francophonie rassemble des femmes cheffes d’entreprises autour de Madame Christine St Pierre, Ministre des Relations internationales du Québec, pour aborder la question de l’entreprenariat féminin.
Adoptée en 2014, la stratégie économique pour la Francophonie vise notamment à promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes dans un contexte où les femmes se trouvent parmi les acteurs les plus marginalisés des processus économiques actuels.
Après la Conférence des femmes de la Francophonie organisée à Bucarest en octobre dernier, cette tribune constitue une nouvelle occasion de rappeler l’impérieuse nécessité de l’autonomisation financière des femmes sur les 5 continents. «Les femmes peuvent jouer un rôle majeur dans la création d’emploi. Se priver de la contribution à la richesse nationale de la moitié de la population est une folie. Toutes les études le démontrent, la progression de l’emploi des femmes entraîne des gains considérables en termes de croissance et de revenu par habitant. L’entreprenariat est aujourd’hui un atout décisif pour l’autonomisation des femmes.
L’indépendance financière qu’il permet, le renforcement des connaissances qu’il nécessite, sont des leviers essentiels pour que les femmes décident de leur destin et choisissent la vie qu’elles souhaitent mener», déclare la Secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean.
Le vendredi 8 décembre, le financement de l’émergence économique dans l’espace francophone sera au cœur des débats avec une table-ronde autour de Ministres des Finances ou en charge du financement du développement précédée de trois interventions majeures de la Présidente de la République de Maurice, du Président de la République du Niger et de la Secrétaire générale de la Francophonie.
«Cette conférence de Paris se veut un espace de rencontre et de dialogue entre les décideurs de la sphère publique et les acteurs du monde économique» souligne Michaëlle Jean.
Enfin, la cérémonie de clôture, sous l’intitulé: « Pour humanisme universel : les jeunes et les femmes s’imposent » constituera une première déclinaison de l’appel en faveur d’une mondialisation économique juste et durable et d’une démocratie mondiale, solidaire, inclusive, garante des valeurs universelles et respectueuses de la diversité qui avait été lancé à Montréal au nom de la Francophonie, du Secrétariat ibéro-américain, de la Communauté des pays de langue portugaise et du Commonwealth.
Pathé TOURE
Adoptée en 2014, la stratégie économique pour la Francophonie vise notamment à promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes dans un contexte où les femmes se trouvent parmi les acteurs les plus marginalisés des processus économiques actuels.
Après la Conférence des femmes de la Francophonie organisée à Bucarest en octobre dernier, cette tribune constitue une nouvelle occasion de rappeler l’impérieuse nécessité de l’autonomisation financière des femmes sur les 5 continents. «Les femmes peuvent jouer un rôle majeur dans la création d’emploi. Se priver de la contribution à la richesse nationale de la moitié de la population est une folie. Toutes les études le démontrent, la progression de l’emploi des femmes entraîne des gains considérables en termes de croissance et de revenu par habitant. L’entreprenariat est aujourd’hui un atout décisif pour l’autonomisation des femmes.
L’indépendance financière qu’il permet, le renforcement des connaissances qu’il nécessite, sont des leviers essentiels pour que les femmes décident de leur destin et choisissent la vie qu’elles souhaitent mener», déclare la Secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean.
Le vendredi 8 décembre, le financement de l’émergence économique dans l’espace francophone sera au cœur des débats avec une table-ronde autour de Ministres des Finances ou en charge du financement du développement précédée de trois interventions majeures de la Présidente de la République de Maurice, du Président de la République du Niger et de la Secrétaire générale de la Francophonie.
«Cette conférence de Paris se veut un espace de rencontre et de dialogue entre les décideurs de la sphère publique et les acteurs du monde économique» souligne Michaëlle Jean.
Enfin, la cérémonie de clôture, sous l’intitulé: « Pour humanisme universel : les jeunes et les femmes s’imposent » constituera une première déclinaison de l’appel en faveur d’une mondialisation économique juste et durable et d’une démocratie mondiale, solidaire, inclusive, garante des valeurs universelles et respectueuses de la diversité qui avait été lancé à Montréal au nom de la Francophonie, du Secrétariat ibéro-américain, de la Communauté des pays de langue portugaise et du Commonwealth.
Pathé TOURE