
Cette situation traduit une bonne exécution des dépenses publiques et une mobilisation modérée des ressources (recettes et dons). En effet, les dépenses totales et prêts nets sont évalués à 208,4 milliards en janvier 2017, augmentant de 32 milliards (+18,2%) sur un an alors que les ressources, estimées à 120,1 milliards, sont en baisse de 0,4 milliard (-0,4%).
Les ressources sont constituées de recettes budgétaires pour 107,6 milliards et de dons en capital à hauteur de 12,5 milliards. La baisse des ressources est imputable aux recettes fiscales qui se sont établies à 105,2 milliards en janvier 2017 contre 107,2 milliards un an auparavant.
Elle traduit essentiellement la faible mobilisation du FSIPP qui s’est replié de 10,4 milliards sur la période. Hors FSIPP, les recettes budgétaires enregistrent une hausse de 8,9 milliards ou 9,1%. Les recettes budgétaires sont composées principalement de l’impôt sur le revenu (24,7 milliards), de la TVA inté- rieure hors pétrole (21,4 milliards), de l’IRVM (13,4 milliards) et de la TVA à l’import (12 milliards), en hausses respectives de 0,6 milliard, 4,1 milliards, 0,8 milliard et 2 milliards. Cette bonne orientation a permis d’atténuer la baisse enregistrée dans la ligne FSIPP.
Pour leur part, les dépenses totales et prêts nets ont enregistré une hausse significative de 32 milliards sur un an. Ce résultat reflète les hausses simultanées des dépenses d’investissement (+38,7%) et courantes (+11,5%).
Pathé TOURE
Les ressources sont constituées de recettes budgétaires pour 107,6 milliards et de dons en capital à hauteur de 12,5 milliards. La baisse des ressources est imputable aux recettes fiscales qui se sont établies à 105,2 milliards en janvier 2017 contre 107,2 milliards un an auparavant.
Elle traduit essentiellement la faible mobilisation du FSIPP qui s’est replié de 10,4 milliards sur la période. Hors FSIPP, les recettes budgétaires enregistrent une hausse de 8,9 milliards ou 9,1%. Les recettes budgétaires sont composées principalement de l’impôt sur le revenu (24,7 milliards), de la TVA inté- rieure hors pétrole (21,4 milliards), de l’IRVM (13,4 milliards) et de la TVA à l’import (12 milliards), en hausses respectives de 0,6 milliard, 4,1 milliards, 0,8 milliard et 2 milliards. Cette bonne orientation a permis d’atténuer la baisse enregistrée dans la ligne FSIPP.
Pour leur part, les dépenses totales et prêts nets ont enregistré une hausse significative de 32 milliards sur un an. Ce résultat reflète les hausses simultanées des dépenses d’investissement (+38,7%) et courantes (+11,5%).
Pathé TOURE