L’analyse des statistiques disponibles est révélatrice du faible niveau de qualification de la population active de notre pays. En effet, sur environ 8,5 millions de personnes en âge de travailler, 6% seulement ont un diplôme ou la qualification professionnelle qu’il faut ; et un peu plus de 5% des jeunes de la tranche d’âge de 15 à 24 ans sont dans des structures de formation professionnelle et technique.
«C’est pourquoi, j’ai placé le capital humain comme Axe II du Plan Sénégal Emergent (PSE). Encore une fois, il ne peut y avoir d’émergence sans ressources humaines de qualité qui aident à asseoir les fondamentaux de l’économie», indique le chef de l’Etat.
Avec le projet Formation-école-entrepriseil s’agitd’expérimenter sur trois ans une phase pilote en faveur de 25 000 jeunes à travers notamment : le renforcement des capacités des entreprises formatrices pour la prise en charge des formations en leur sein; la mise en œuvre de formations d’une part, dans les centres de formation, durant 20% du temps global de formation,et d’autre part, au niveau des entreprises formatrices, durant 80% du temps global de formation, sur des métiers répondant aux besoins et capacités des entreprises : c’est le principe de la formation duale école-entreprise, enfin, la prise en charge dégressive par l’Etat des allocations à verser aux apprenants comme suit : 40 000 F CFA la première année de formation, 20 000 F CFA la seconde et 10 000 F CFA à la dernière année, ainsi que la totalité des frais de formation en centre.
«Le développement est un processus d’ensemble. Dans mon entendement, le développement doit se faire de façon inclusive, équitable et solidaire. C’est ce que j’entends par le Sénégal de tous, le Sénégal pour tous, appliqué ici à la formation technique et professionnelle. Tous les jeunes de notre pays, où qu’ils se trouvent, sont d’égale dignité. Ils méritent la même attention pour se former, entreprendre et réussir», a conclu le chef de l’Etat.
Pathé TOURE
«C’est pourquoi, j’ai placé le capital humain comme Axe II du Plan Sénégal Emergent (PSE). Encore une fois, il ne peut y avoir d’émergence sans ressources humaines de qualité qui aident à asseoir les fondamentaux de l’économie», indique le chef de l’Etat.
Avec le projet Formation-école-entrepriseil s’agitd’expérimenter sur trois ans une phase pilote en faveur de 25 000 jeunes à travers notamment : le renforcement des capacités des entreprises formatrices pour la prise en charge des formations en leur sein; la mise en œuvre de formations d’une part, dans les centres de formation, durant 20% du temps global de formation,et d’autre part, au niveau des entreprises formatrices, durant 80% du temps global de formation, sur des métiers répondant aux besoins et capacités des entreprises : c’est le principe de la formation duale école-entreprise, enfin, la prise en charge dégressive par l’Etat des allocations à verser aux apprenants comme suit : 40 000 F CFA la première année de formation, 20 000 F CFA la seconde et 10 000 F CFA à la dernière année, ainsi que la totalité des frais de formation en centre.
«Le développement est un processus d’ensemble. Dans mon entendement, le développement doit se faire de façon inclusive, équitable et solidaire. C’est ce que j’entends par le Sénégal de tous, le Sénégal pour tous, appliqué ici à la formation technique et professionnelle. Tous les jeunes de notre pays, où qu’ils se trouvent, sont d’égale dignité. Ils méritent la même attention pour se former, entreprendre et réussir», a conclu le chef de l’Etat.
Pathé TOURE