«Celles-ci, c’est ma conviction, ne peut se faire sans l’implication des femmes, piliers essentiels de la société et socle de la cellule familiale en Afrique», indique-t-elle à l’occasion des rencontres d’échanges et de réflexion de haut niveau sur l’autonomisation économique des femmes, organisé par le groupe de presse panafricain AllAfrica.
Néanmoins, ajoute Marième Ba Sy, les disparités restent énormes entre homme et femme. Selon le PNUD, dans beaucoup de parties du pays, «les hommes sont généralement responsables des cultures de rente telles que le coton, le millet ou le riz. Mais avec des averses moins fréquentes et une saison des pluies plus courte, ces exploitations sont de plus en plus fragiles, mettant plus de pression sur les femmes. Elles doivent non seulement travailler, mais aussi obtenir suffisamment d’eau et de nourriture pour soutenir leur famille ».
Heureusement que devant cet état de fait, ajoute-t-elle, la Direction nationale de l’Agriculture, en partenariat avec le PNUD, travaille à renforcer les communautés agricoles et à autonomiser les femmes pour atténuer les conséquences sociales et économiques du changement climatique.
L'augmentation du revenu des femmes et leur contrôle accru sur les dépenses familiales peuvent se traduire par des améliorations au chapitre de la nutrition, de la santé et de l'éducation des enfants et, ce faisant, contribuer à briser le cycle de la pauvreté et sa transmission intergénérationnelle.
Ismaila Ba, Envoyé spécial à Bamako
Néanmoins, ajoute Marième Ba Sy, les disparités restent énormes entre homme et femme. Selon le PNUD, dans beaucoup de parties du pays, «les hommes sont généralement responsables des cultures de rente telles que le coton, le millet ou le riz. Mais avec des averses moins fréquentes et une saison des pluies plus courte, ces exploitations sont de plus en plus fragiles, mettant plus de pression sur les femmes. Elles doivent non seulement travailler, mais aussi obtenir suffisamment d’eau et de nourriture pour soutenir leur famille ».
Heureusement que devant cet état de fait, ajoute-t-elle, la Direction nationale de l’Agriculture, en partenariat avec le PNUD, travaille à renforcer les communautés agricoles et à autonomiser les femmes pour atténuer les conséquences sociales et économiques du changement climatique.
L'augmentation du revenu des femmes et leur contrôle accru sur les dépenses familiales peuvent se traduire par des améliorations au chapitre de la nutrition, de la santé et de l'éducation des enfants et, ce faisant, contribuer à briser le cycle de la pauvreté et sa transmission intergénérationnelle.
Ismaila Ba, Envoyé spécial à Bamako