Au titre de l’objectif 8.7 des ODD les dirigeants du monde se sont engagés à : «prendre des mesures immédiates et efficaces pour supprimer le travail forcé, mettre fin à l’esclavage moderne et à la traite d’êtres humains, interdire et éliminer les pires formes de travail des enfants, y compris le recrutement et l’utilisation d’enfants soldats, et, d’ici à 2025, mettre fin au travail des enfants sous toutes ses formes».
En effet, une délégation d’UNI Global Union et d’UNI Africa profite de sa présence à Dakar, Sénégal, lors de la 4e Conférence d’UNI Africa, pour se rendre à l’île de Gorée, au large du point le plus occidental du continent africain, pour visiter «la maison des esclaves» avec sa «porte du non-retour», un mémorial au trafic des esclaves à travers l’Atlantique. UNI dévoilera une plaque afin de souligner son attachement à ce que la tragédie humaine de l’esclavage des Africains ne soit pas oubliée.
Cette cérémonie donnera également l’occasion de reconnaître que l’esclavage moderne continue à exister dans le monde entier sous de nombreuses formes haïssables et que l’international doit continuer à défendre une position forte. Selon les chiffres récents de l’Organisation internationale du travail (OIT) : près de 21 millions de personnes sont victimes de travail forcé 11,4 millions de femmes et de jeunes filles et 9,5 millions d’hommes et de jeunes garçons.
Philip Jennings, Secrétaire général d’UNI Global Union et co-président de la plateforme de l’OIT sur le travail des enfants, a réclamé que les entreprises mondiales unissent leurs efforts pour éliminer le travail des enfants des chaînes d’approvisionnement.
«Nous ne relâcherons jamais nos efforts tant que nous n’aurons pas éliminé le travail des enfants de notre planète», indique-t-il. La présente Déclaration contre l’esclavage sera transférée de la Conférence d’UNI Africa jusqu’au cœur même du Congrès mondial d’UNI Global Union à Liverpool l’an prochain, où elle alimentera un panel de discussion sur CNN consacré à l’esclavage moderne, prévu en liaison avec le Musée international de l’esclavage de Liverpool.
Pathé TOURE
En effet, une délégation d’UNI Global Union et d’UNI Africa profite de sa présence à Dakar, Sénégal, lors de la 4e Conférence d’UNI Africa, pour se rendre à l’île de Gorée, au large du point le plus occidental du continent africain, pour visiter «la maison des esclaves» avec sa «porte du non-retour», un mémorial au trafic des esclaves à travers l’Atlantique. UNI dévoilera une plaque afin de souligner son attachement à ce que la tragédie humaine de l’esclavage des Africains ne soit pas oubliée.
Cette cérémonie donnera également l’occasion de reconnaître que l’esclavage moderne continue à exister dans le monde entier sous de nombreuses formes haïssables et que l’international doit continuer à défendre une position forte. Selon les chiffres récents de l’Organisation internationale du travail (OIT) : près de 21 millions de personnes sont victimes de travail forcé 11,4 millions de femmes et de jeunes filles et 9,5 millions d’hommes et de jeunes garçons.
Philip Jennings, Secrétaire général d’UNI Global Union et co-président de la plateforme de l’OIT sur le travail des enfants, a réclamé que les entreprises mondiales unissent leurs efforts pour éliminer le travail des enfants des chaînes d’approvisionnement.
«Nous ne relâcherons jamais nos efforts tant que nous n’aurons pas éliminé le travail des enfants de notre planète», indique-t-il. La présente Déclaration contre l’esclavage sera transférée de la Conférence d’UNI Africa jusqu’au cœur même du Congrès mondial d’UNI Global Union à Liverpool l’an prochain, où elle alimentera un panel de discussion sur CNN consacré à l’esclavage moderne, prévu en liaison avec le Musée international de l’esclavage de Liverpool.
Pathé TOURE