Tel est ce que dit Stefan Schweinfest, Directeur de la Division de statistique des Nations Unies, au Département des affaires économiques et sociales, lors de la sixième conférence sur l’échange des données et des métadonnées statistiques (SDMX), à Addis-Abeba.
Le SDMX est une initiative internationale qui vise à normaliser et à moderniser les mécanismes et les processus d’échange de données et de métadonnées statistiques entre les organisations internationales et leurs pays membres. Il s’agit d’une norme ISO pour la diffusion des données et des métadonnées et est devenu une base pour concevoir des processus statistiques.
Les outils du SDMX, dit M. Schweinfest, sont disponibles sous forme de source ouverte, ce qui permet aux utilisateurs de les étendre facilement et de les développer.
«Ces technologies et ces outils peuvent évidemment aider à rationaliser et à automatiser l’échange de données au niveau national, tout comme avec les agences internationales. En effet, des gains d’efficacité peuvent être réalisés en mettant en œuvre des échanges de données entre les différents organismes gouvernementaux au niveau national. Ces technologies créent un potentiel pour même considérer le SDMX au-delà des statistiques », déclare le directeur de la DSNU.
Pathé TOURE
Le SDMX est une initiative internationale qui vise à normaliser et à moderniser les mécanismes et les processus d’échange de données et de métadonnées statistiques entre les organisations internationales et leurs pays membres. Il s’agit d’une norme ISO pour la diffusion des données et des métadonnées et est devenu une base pour concevoir des processus statistiques.
Les outils du SDMX, dit M. Schweinfest, sont disponibles sous forme de source ouverte, ce qui permet aux utilisateurs de les étendre facilement et de les développer.
«Ces technologies et ces outils peuvent évidemment aider à rationaliser et à automatiser l’échange de données au niveau national, tout comme avec les agences internationales. En effet, des gains d’efficacité peuvent être réalisés en mettant en œuvre des échanges de données entre les différents organismes gouvernementaux au niveau national. Ces technologies créent un potentiel pour même considérer le SDMX au-delà des statistiques », déclare le directeur de la DSNU.
Pathé TOURE