
Selon M. Zaki, la convention minière du groupe français Areva, qui exploite deux mines d’uranium depuis les années 1970 dans le nord du Niger, « favorise une déperdition des ressources et la domiciliation fiscale au désavantage des citoyens nigériens », rapporte le 15 avril Ndarinfo.com.
Mouhammadou Mbow, professeur de droit fiscal, a, de son côté, indexé le code des investissements des années 60 qui a accordé des « avantages exorbitants aux investisseurs étrangers ». Il a déploré, rapporte-t-on, les conséquences négatives de l’héritage juridique postcolonial en matière de conventions minières, expliquant que l’absence d’effort de « déconstruction de l’idéologie du sous-développement » par les Etats africains est une cause du retard économique du continent.
Ce pourquoi M. Mbow appelle les Nations africaines à être des « co-exploitantes de leurs ressources minières », à l’exemple de la Chine.
Ecofin
Mouhammadou Mbow, professeur de droit fiscal, a, de son côté, indexé le code des investissements des années 60 qui a accordé des « avantages exorbitants aux investisseurs étrangers ». Il a déploré, rapporte-t-on, les conséquences négatives de l’héritage juridique postcolonial en matière de conventions minières, expliquant que l’absence d’effort de « déconstruction de l’idéologie du sous-développement » par les Etats africains est une cause du retard économique du continent.
Ce pourquoi M. Mbow appelle les Nations africaines à être des « co-exploitantes de leurs ressources minières », à l’exemple de la Chine.
Ecofin