«Le monde a fait d'importants progrès. Il est parvenu à faire reculer l'extrême pauvreté, à améliorer l'accès à l'éducation, à la santé et à l'assainissement, et à élargir les possibilités ouvertes aux femmes et aux filles», a déclaré l'Administratrice du PNUD, Helen Clark, lors de la présentation du Rapport sur le développement humain 2016, à Stockholm, en Suède.
D'après le rapport, intitulé «Le développement humain pour tous», les pays développés sont eux aussi confrontés aux problèmes de la pauvreté et de l'exclusion, avec plus de 300 millions de personnes vivant dans une pauvreté relative, dont plus d'un tiers de tous les enfants.
Le rapport note aussi qu'à la gravité des privations, s'ajoute la manière disproportionnée dont les inégalités affectent certains groupes.
«Nous accordons trop d'attention aux moyennes nationales, qui occultent souvent d'énormes variations dans la vie des individus », souligne l'auteur principal du rapport et directeur du Bureau du Rapport sur le développement humain, Selim Jahan.
Le rapport indique que dans presque tous les pays, plusieurs groupes sont souvent désavantagés dans plusieurs domaines à la fois. Cela aggrave leur vulnérabilité et creuse les inégalités entre les générations. Plus le monde avance, plus ils ont du mal à rattraper leur retard.
Les femmes et les filles, les populations rurales, les peuples autochtones, les minorités ethniques, les personnes handicapées, les migrants, les réfugiés et la communauté LGBTI font partie des groupes qui sont systématiquement exclus par des obstacles qui ne sont pas purement économiques mais aussi politiques, sociaux et culturels.
Dans le cas des femmes, le plus grand de ces groupes, le rapport fait état d'un lent resserrement des écarts entre les deux sexes à l'échelle mondiale, tout en soulignant cependant que l'exclusion et le manque d'autonomie des femmes et des filles restent des problèmes pressants.
Pathé TOURE
D'après le rapport, intitulé «Le développement humain pour tous», les pays développés sont eux aussi confrontés aux problèmes de la pauvreté et de l'exclusion, avec plus de 300 millions de personnes vivant dans une pauvreté relative, dont plus d'un tiers de tous les enfants.
Le rapport note aussi qu'à la gravité des privations, s'ajoute la manière disproportionnée dont les inégalités affectent certains groupes.
«Nous accordons trop d'attention aux moyennes nationales, qui occultent souvent d'énormes variations dans la vie des individus », souligne l'auteur principal du rapport et directeur du Bureau du Rapport sur le développement humain, Selim Jahan.
Le rapport indique que dans presque tous les pays, plusieurs groupes sont souvent désavantagés dans plusieurs domaines à la fois. Cela aggrave leur vulnérabilité et creuse les inégalités entre les générations. Plus le monde avance, plus ils ont du mal à rattraper leur retard.
Les femmes et les filles, les populations rurales, les peuples autochtones, les minorités ethniques, les personnes handicapées, les migrants, les réfugiés et la communauté LGBTI font partie des groupes qui sont systématiquement exclus par des obstacles qui ne sont pas purement économiques mais aussi politiques, sociaux et culturels.
Dans le cas des femmes, le plus grand de ces groupes, le rapport fait état d'un lent resserrement des écarts entre les deux sexes à l'échelle mondiale, tout en soulignant cependant que l'exclusion et le manque d'autonomie des femmes et des filles restent des problèmes pressants.
Pathé TOURE