‘’Nous devons nous soucier de l’état actuel de nos objectifs à quelques encablures de l’horizon 2015'', à l’ouverture lundi à Dakar de la 4ème Revue annuelle Conjointe du Programme national de développement sanitaire (PNDS).
''Nous savons qu’il y eu des progrès réalisés notamment en ce qui concerne l’OMD4 et l’OMD6, bien que nous sachons qu’il nous faudra encore redoubler d’efforts pour pouvoir être au rendez-vous de 2015’’, a -t-elle souligné.
Pour l’OMD5 qui a trait à la mortalité maternelle, a-t-elle précisé, ‘’des actions d’envergure sont en train menées, car nous avons un retard réel’’.
‘’Même si nous n’atteignons pas cet objectif, nous pouvons avoir des résultats probants avec l’appui des partenaires. De plus, notre pays devra relever le défi de l’amélioration de l’accès aux soins, celui de la réduction des risques d’appauvrissement associé aux dépenses de santé car c’est un poids énorme pour les familles’’, a fait valoir le ministre.
En ce sens, elle a salué la constance dans l’effort d’évaluation des performances régionales.
Au cours de cette revue, seront débattues les performances réalisées par le secteur mais ces performances ne prennent pas en charge tous les indicateurs de l’action sociale. Ce secteur ''a été rattaché au ministère de la Santé en 2012 et les choses ont mis du temps à se mettre en place'', selon Awa Marie Coll Seck.
''Mais il y aura des indicateurs choisis qui pourront intégrés la présente revue'', a-t-elle précisé.
Pour Awa Marie Coll Seck, en généra, les ministères ont un problème d’absorption. ''C’est pourquoi les revues annuelles sont importantes pour les comités internes de suivi parce que cela permet régulièrement de faire le point au plan financier'', a-t-elle expliqué.
A l’endroit du secrétaire général du ministère de l’Economie et des Finances, le ministre a soutenu que son département peut absorber les financements qui lui sont octroyés.
Elle a rappelé que le ministère de la Santé et de l’Action sociale a engagé des réformes pour améliorer l’accès aux soins et protéger les groupes vulnérables et défavorisés.
Elle a évoqué certaines réformes comme la réorganisation du ministère, l’adoption d’un nouveau système de gestion des finances publiques, la mise en œuvre de la stratégie couverture du risque maladie, une profonde réforme du système national de protection sociale.
‘’Ce qui est plus important pour le ministre, ce sont les orientations stratégiques prises dans le cadre du Plan Sénégal Emergent et dans le Plan d’action prioritaire semestriel 2018’’, a-t-elle précisé.
Awa Marie Coll Seck a également rappelé la demande faite par le chef de l’Etat pour lui présenter un Plan d’urgence de relèvement du plateau technique dans les structures sanitaires.
Pour le secrétaire général du gouvernement, Pape Ousmane Guèye venu représenter le ministère de l’Economie et des Finances, le gouvernement devra ''assurer une meilleure gestion des ressources publiques et poursuivre les efforts'' entrepris dans le cadre des réformes structurelles.
M. Guèye a rappelé les efforts faits sur le budget de l’Etat qui ont permis d’augmenter le volume des ressources allouées au ministère de la santé et de l’Action sociale de 18% entre 2012 et 2013 et de 7% en 2014. ‘’Ces efforts devront être poursuivis en vue d’atteindre l’objectif de 15%’’, a-t-il ajouté.
Dans le programme, il est prévu de discuter les avancées qui existent dans le cadre de la Couverture maladie universelle, de l’offre et de l’avancement en rapport avec les mutuelles de santé.
Les performances du secteur au plan budgétaire, les programmes en cours, les investissements seront passés en revue au cours de la rencontre.
Les acteurs de la santé et les partenaires feront également le point sur le niveau d’exécution du budget pour l’année 2013 et le premier trimestre 2014.
Ce cadre permet d’échanger et d’évaluer sur la mise en œuvre du Plan national de développement sanitaire et social (2009-2018) et de faire le point au niveau de la mise en œuvre des recommandations et directives issues de la dernière Revue annuelle conjointe .
APS
''Nous savons qu’il y eu des progrès réalisés notamment en ce qui concerne l’OMD4 et l’OMD6, bien que nous sachons qu’il nous faudra encore redoubler d’efforts pour pouvoir être au rendez-vous de 2015’’, a -t-elle souligné.
Pour l’OMD5 qui a trait à la mortalité maternelle, a-t-elle précisé, ‘’des actions d’envergure sont en train menées, car nous avons un retard réel’’.
‘’Même si nous n’atteignons pas cet objectif, nous pouvons avoir des résultats probants avec l’appui des partenaires. De plus, notre pays devra relever le défi de l’amélioration de l’accès aux soins, celui de la réduction des risques d’appauvrissement associé aux dépenses de santé car c’est un poids énorme pour les familles’’, a fait valoir le ministre.
En ce sens, elle a salué la constance dans l’effort d’évaluation des performances régionales.
Au cours de cette revue, seront débattues les performances réalisées par le secteur mais ces performances ne prennent pas en charge tous les indicateurs de l’action sociale. Ce secteur ''a été rattaché au ministère de la Santé en 2012 et les choses ont mis du temps à se mettre en place'', selon Awa Marie Coll Seck.
''Mais il y aura des indicateurs choisis qui pourront intégrés la présente revue'', a-t-elle précisé.
Pour Awa Marie Coll Seck, en généra, les ministères ont un problème d’absorption. ''C’est pourquoi les revues annuelles sont importantes pour les comités internes de suivi parce que cela permet régulièrement de faire le point au plan financier'', a-t-elle expliqué.
A l’endroit du secrétaire général du ministère de l’Economie et des Finances, le ministre a soutenu que son département peut absorber les financements qui lui sont octroyés.
Elle a rappelé que le ministère de la Santé et de l’Action sociale a engagé des réformes pour améliorer l’accès aux soins et protéger les groupes vulnérables et défavorisés.
Elle a évoqué certaines réformes comme la réorganisation du ministère, l’adoption d’un nouveau système de gestion des finances publiques, la mise en œuvre de la stratégie couverture du risque maladie, une profonde réforme du système national de protection sociale.
‘’Ce qui est plus important pour le ministre, ce sont les orientations stratégiques prises dans le cadre du Plan Sénégal Emergent et dans le Plan d’action prioritaire semestriel 2018’’, a-t-elle précisé.
Awa Marie Coll Seck a également rappelé la demande faite par le chef de l’Etat pour lui présenter un Plan d’urgence de relèvement du plateau technique dans les structures sanitaires.
Pour le secrétaire général du gouvernement, Pape Ousmane Guèye venu représenter le ministère de l’Economie et des Finances, le gouvernement devra ''assurer une meilleure gestion des ressources publiques et poursuivre les efforts'' entrepris dans le cadre des réformes structurelles.
M. Guèye a rappelé les efforts faits sur le budget de l’Etat qui ont permis d’augmenter le volume des ressources allouées au ministère de la santé et de l’Action sociale de 18% entre 2012 et 2013 et de 7% en 2014. ‘’Ces efforts devront être poursuivis en vue d’atteindre l’objectif de 15%’’, a-t-il ajouté.
Dans le programme, il est prévu de discuter les avancées qui existent dans le cadre de la Couverture maladie universelle, de l’offre et de l’avancement en rapport avec les mutuelles de santé.
Les performances du secteur au plan budgétaire, les programmes en cours, les investissements seront passés en revue au cours de la rencontre.
Les acteurs de la santé et les partenaires feront également le point sur le niveau d’exécution du budget pour l’année 2013 et le premier trimestre 2014.
Ce cadre permet d’échanger et d’évaluer sur la mise en œuvre du Plan national de développement sanitaire et social (2009-2018) et de faire le point au niveau de la mise en œuvre des recommandations et directives issues de la dernière Revue annuelle conjointe .
APS