Selon le document reçu au Journal de l’économie sénégalaise (Lejecos), les interruptions d'activité
figurent en tête des risques d'entreprise en Afrique et au Moyen-Orient.
«Les opinions d'un nombre record de 2 718 experts ont été recueillies dans plus de 100 pays, incluant des directeurs généraux, gestionnaires de risques, courtiers et assureurs. Cette année, les interruptions d'activités se hissent en première position du Baromètre des risques (31 % des réponses) en Afrique et au Moyen-Orient. Elles figuraient à la cinquième position en 2019 (23 % des réponses).
La tendance aux pertes d'exploitation de plus en plus importantes et complexes se poursuit. Les causes de ces interruptions sont diverses, allant de l'incendie, l'explosion ou la catastrophe naturelle à la défaillance de la chaîne d'approvisionnement connectée, voire la violence politique », explique-t-on.
Selon la même source, les incidents cyber passent de la troisième place (27%) à la seconde
(30%). Les entreprises ont davantage pris conscience de ces risques ces dernières années, en raison notamment de la dépendance croissante des entreprises aux bases de données et systèmes d'information, et de la médiatisation de plusieurs incidents.
«Les entreprises en Afrique et au Moyen-Orient sont de plus en plus préoccupées par les interruptions d'activité : elles constituent le principal risque sur le continent en 2020, alors qu'elles figuraient en cinquième position en 2019. Elles se classent également parmi les trois premiers risques en Tanzanie (1er), au Nigeria (2e), en Afrique du Sud (3e) et au Cameroun (2e).
Les incidents cybers se classent au second rang des risques régionaux tandis que les entreprises sont de plus en plus préoccupées par les évolutions réglementaires et législatives, qui passent au troisième rang.
Les principaux risques en Afrique correspondent aux trois principaux risques mondiaux, ce qui montre que les entreprises africaines ont des préoccupations similaires aux autres entreprises dans le monde», explique Thusang Mahlangu, Directeur général d'AGCS Africa.
Sont aussi cités dans le baromètre des risques, les changements climatiques, les incendies, les évolutions législatives et réglementaires, les incidents cyber, les pannes d’infrastructures.
Adou FAYE
figurent en tête des risques d'entreprise en Afrique et au Moyen-Orient.
«Les opinions d'un nombre record de 2 718 experts ont été recueillies dans plus de 100 pays, incluant des directeurs généraux, gestionnaires de risques, courtiers et assureurs. Cette année, les interruptions d'activités se hissent en première position du Baromètre des risques (31 % des réponses) en Afrique et au Moyen-Orient. Elles figuraient à la cinquième position en 2019 (23 % des réponses).
La tendance aux pertes d'exploitation de plus en plus importantes et complexes se poursuit. Les causes de ces interruptions sont diverses, allant de l'incendie, l'explosion ou la catastrophe naturelle à la défaillance de la chaîne d'approvisionnement connectée, voire la violence politique », explique-t-on.
Selon la même source, les incidents cyber passent de la troisième place (27%) à la seconde
(30%). Les entreprises ont davantage pris conscience de ces risques ces dernières années, en raison notamment de la dépendance croissante des entreprises aux bases de données et systèmes d'information, et de la médiatisation de plusieurs incidents.
«Les entreprises en Afrique et au Moyen-Orient sont de plus en plus préoccupées par les interruptions d'activité : elles constituent le principal risque sur le continent en 2020, alors qu'elles figuraient en cinquième position en 2019. Elles se classent également parmi les trois premiers risques en Tanzanie (1er), au Nigeria (2e), en Afrique du Sud (3e) et au Cameroun (2e).
Les incidents cybers se classent au second rang des risques régionaux tandis que les entreprises sont de plus en plus préoccupées par les évolutions réglementaires et législatives, qui passent au troisième rang.
Les principaux risques en Afrique correspondent aux trois principaux risques mondiaux, ce qui montre que les entreprises africaines ont des préoccupations similaires aux autres entreprises dans le monde», explique Thusang Mahlangu, Directeur général d'AGCS Africa.
Sont aussi cités dans le baromètre des risques, les changements climatiques, les incendies, les évolutions législatives et réglementaires, les incidents cyber, les pannes d’infrastructures.
Adou FAYE