
En effet, à l’issue de l’assemblée générale ordinaire qui s’est tenue les 26 et 27 octobre à la Maison de l’entreprise à Abidjan, Plateau sur le thème « compétitivité des entreprises de la zone FOPAO : quelles opportunités face aux importations des entreprises étrangères ?», les hommes d’affaires ouest-africain n’ont pas manqué d’exprimer leurs inquiétudes.
Dans une lettre adressée au président de la commission de la CEDEAO, les membres de la FOPAO, regroupant les 15 pays membres de la Cedeao plus la Mauritanie, ont exprimé leurs interrogations relatives à la demande d’adhésion de certains pays du Maghreb à la CEDEAO. Selon eux, cette adhésion peut être une source d’opportunités et d’entraves pour le développement du secteur privé régional.
Dans ce sens, la FOPAO souligne qu’avant qu’une décision ne soit prise par les chefs d’Etat, une étude approfondie de l’impact de ces adhésions sur le secteur privé régional doit être menée. Mais aussi, que la FOPAO soit associée à ces réflexions dont l’importance stratégique n’est plus à démontrer pour le développement économique et social de la sous-région.
Pathé TOURE
Dans une lettre adressée au président de la commission de la CEDEAO, les membres de la FOPAO, regroupant les 15 pays membres de la Cedeao plus la Mauritanie, ont exprimé leurs interrogations relatives à la demande d’adhésion de certains pays du Maghreb à la CEDEAO. Selon eux, cette adhésion peut être une source d’opportunités et d’entraves pour le développement du secteur privé régional.
Dans ce sens, la FOPAO souligne qu’avant qu’une décision ne soit prise par les chefs d’Etat, une étude approfondie de l’impact de ces adhésions sur le secteur privé régional doit être menée. Mais aussi, que la FOPAO soit associée à ces réflexions dont l’importance stratégique n’est plus à démontrer pour le développement économique et social de la sous-région.
Pathé TOURE