chroniques
Crédit Photo: UNFPA-Wcaro
Organisé par le Fonds des nations unies pour la population (UNFPA), en étroite collaboration avec le Centre de Recherche en Economie et Finance Appliquée de l’Université de Thiès (CREFAT) au Sénégal, cette conférence qui se tient à Dakar et Saly, ce symposium de haut niveau rassemble les chercheurs et centres de recherche à travers le monde sur les questions démo-économiques (dividende démographique, vieillissement de la population, autonomisation des femmes, genre, comptabilité générationnelle, pensions de retraite etc.).
Contrairement aux «Tigres asiatiques» la plupart des pays en
développement éprouvent des difficultés pour atteindre les avantages économiques potentiels en raison de la lenteur des progrès dans la transition démographique et de l’incapacité à mettre en œuvre des politiques et actions favorables.
Mais, aujourd’hui, la donne commence à changer. En effet, les décideurs politiques, les chercheurs et d’autres partenaires de développement ont adopté le dividende démographique et mettent l’accent sur la promotion des interventions requises qui aideront la plupart des pays en développement à bien exploiter ce concept dans un avenir proche.
Le dividende démographique fait référence à une croissance économique rapide et au bien-être qui peuvent naître de changements dans la pyramide des âges et la réduction du niveau de dépendance d’un pays. D’où l’importance de sa prise en compte dans des politiques sociales et économiques favorables au développement du capital humain.
C’est pourquoi d’ailleurs, ce symposium enregistre la participation de plusieurs éminentes personnalités parmi lesquelles, des chefs d’Etat et de Gouvernement actuels et anciens : Babatunde Osotimehin, Directeur exécutif de l’UNFPA, Yahaya Haliru, Emir de Shonga, Yakubu Gowon, ancien président du Nigeria Jakaya Kikwete, ancien président de Tanzanie), etc., ainsi que plus d’une quinzaine de ministres de plusieurs pays d’Afrique dont celui de l’Enseignement supérieur du Sénégal, Pr. Mary Teuw Niane, venu lancer solennellement l’ouverture de la rencontre.
Hawa Thiam
Contrairement aux «Tigres asiatiques» la plupart des pays en
développement éprouvent des difficultés pour atteindre les avantages économiques potentiels en raison de la lenteur des progrès dans la transition démographique et de l’incapacité à mettre en œuvre des politiques et actions favorables.
Mais, aujourd’hui, la donne commence à changer. En effet, les décideurs politiques, les chercheurs et d’autres partenaires de développement ont adopté le dividende démographique et mettent l’accent sur la promotion des interventions requises qui aideront la plupart des pays en développement à bien exploiter ce concept dans un avenir proche.
Le dividende démographique fait référence à une croissance économique rapide et au bien-être qui peuvent naître de changements dans la pyramide des âges et la réduction du niveau de dépendance d’un pays. D’où l’importance de sa prise en compte dans des politiques sociales et économiques favorables au développement du capital humain.
C’est pourquoi d’ailleurs, ce symposium enregistre la participation de plusieurs éminentes personnalités parmi lesquelles, des chefs d’Etat et de Gouvernement actuels et anciens : Babatunde Osotimehin, Directeur exécutif de l’UNFPA, Yahaya Haliru, Emir de Shonga, Yakubu Gowon, ancien président du Nigeria Jakaya Kikwete, ancien président de Tanzanie), etc., ainsi que plus d’une quinzaine de ministres de plusieurs pays d’Afrique dont celui de l’Enseignement supérieur du Sénégal, Pr. Mary Teuw Niane, venu lancer solennellement l’ouverture de la rencontre.
Hawa Thiam
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