Le ministre du budget sénégalais a souligné l’importance de la croissance économique, de l’emploi des jeunes, de la réduction de la pauvreté et des inégalités.
« Il nous appartient d’améliorer la qualité de vie des populations africaines, en particulier, faciliter l’emploi des jeunes, élargir l’accès aux services sociaux essentiels et offrir à la jeunesse africaine davantage de possibilités nouvelles et meilleures », a déclaré Birima Mangara.
C’est dans ce contexte qu’il a indiqué que le Sénégal, s’inspirant de l’exemple brésilien, expérimente depuis 2012, l’octroi ciblé de bourses de sécurité familiale et promeut la couverture maladie universelle. Selon Monsieur Mangara, ces dépenses constituent un investissement à haut impact sur le capital humain, base essentielle pour réussir le combat contre la pauvreté. Et par ailleurs, il considère que lorsque les conditions de vie des populations vulnérables s’améliorent, la paix et la stabilité sociale se renforcent.
« Nous devons favoriser la transformation structurelle dans nos stratégies et plans de développement, afin de gagner les défis de la croissance, de l’inégalité et du chômage. Il est essentiel d’investir dans la protection sociale, l’éducation et la formation des jeunes et des femmes laissés pour compte. C’est là un défi majeur pour les dirigeants politiques et ils ne peuvent pas le relever à eux seuls. » a-t-il affirmé. Avant d’ajouter qu’il faut impérativement que tous ceux qui créent des emplois et de la croissance s’y attèlent pour permettre lors de cette réunion d’arrêter, de manière concertée, les solutions de nature à franchir ce cap périlleux. ».
Fatou Blondin CISSE
« Il nous appartient d’améliorer la qualité de vie des populations africaines, en particulier, faciliter l’emploi des jeunes, élargir l’accès aux services sociaux essentiels et offrir à la jeunesse africaine davantage de possibilités nouvelles et meilleures », a déclaré Birima Mangara.
C’est dans ce contexte qu’il a indiqué que le Sénégal, s’inspirant de l’exemple brésilien, expérimente depuis 2012, l’octroi ciblé de bourses de sécurité familiale et promeut la couverture maladie universelle. Selon Monsieur Mangara, ces dépenses constituent un investissement à haut impact sur le capital humain, base essentielle pour réussir le combat contre la pauvreté. Et par ailleurs, il considère que lorsque les conditions de vie des populations vulnérables s’améliorent, la paix et la stabilité sociale se renforcent.
« Nous devons favoriser la transformation structurelle dans nos stratégies et plans de développement, afin de gagner les défis de la croissance, de l’inégalité et du chômage. Il est essentiel d’investir dans la protection sociale, l’éducation et la formation des jeunes et des femmes laissés pour compte. C’est là un défi majeur pour les dirigeants politiques et ils ne peuvent pas le relever à eux seuls. » a-t-il affirmé. Avant d’ajouter qu’il faut impérativement que tous ceux qui créent des emplois et de la croissance s’y attèlent pour permettre lors de cette réunion d’arrêter, de manière concertée, les solutions de nature à franchir ce cap périlleux. ».
Fatou Blondin CISSE