
Prévue à 9 h, le démarrage des travaux de la réunion du Comité technique des experts de la 2ème réunion annuelle conjointe CEA-UA n’a pu démarrer qu’à 12 h.
Des indiscrétions renseignent que ce retard est dû au refus de la délégation marocaine de siéger aux côtés de celle du Sahara Occidentale. Une information qui a surpris plus d’un car l’attente devenait lassante alors que la centaine de délégation présente à cette rencontre avait pris place dès le début de la matinée dans le Palais des Congrès de l’hôtel King Fahd Palace de Dakar.
Le brouhaha qui rythmait l’ambiance de la salle traduisait l’étonnement des centaines de participants. Ce qui avait obligé, d’ailleurs, les organisateurs à inviter les participants à une pause-café pour un peu détendre l’atmosphère. Malgré un retour aux environs de 11 h dans la salle, le démarrage se faisait toujours attendre.
Ce retard aura certainement des répercussions dans l’agenda de la première journée de cet événement puisque nos sources parlent de la persistance de cette divergence jusque dans l’après-midi. Ce qui même poussé le président de l’UNECA à préciser qu’ils ne sont pas ici pour parler des problèmes politiques mais pour trouver des solutions de développement. Poursuivant, il se demande pourquoi le Maroc persiste dans le blocage. Peine perdue puisque le Maroc persistera dans cette voie et au final il était question de recourir à un vote car selon le secrétariat de l’Uneca , le royaume chérifien n’avait pas reconnu les termes et par conséquent , il ne pourra pas participer à cette réunion.
Ce que la partie marocaine conteste vigoureusement en indiquant au président de l’Uneca qu’il n’a pas la prérogative de prendre la décision d’organiser un vote et que cela revenait aux états membres.
Pourtant, le début de cette rencontre s’annonçait prometteur suite à la conférence de presse de la veille. Ce face-à-face avec la presse avait permis aux messieurs René Kouassi, Directeur de la Commission de l’UA et Dimitri Sanga de la CEA de camper le sujet.
Fatou Blondin Cissé
Des indiscrétions renseignent que ce retard est dû au refus de la délégation marocaine de siéger aux côtés de celle du Sahara Occidentale. Une information qui a surpris plus d’un car l’attente devenait lassante alors que la centaine de délégation présente à cette rencontre avait pris place dès le début de la matinée dans le Palais des Congrès de l’hôtel King Fahd Palace de Dakar.
Le brouhaha qui rythmait l’ambiance de la salle traduisait l’étonnement des centaines de participants. Ce qui avait obligé, d’ailleurs, les organisateurs à inviter les participants à une pause-café pour un peu détendre l’atmosphère. Malgré un retour aux environs de 11 h dans la salle, le démarrage se faisait toujours attendre.
Ce retard aura certainement des répercussions dans l’agenda de la première journée de cet événement puisque nos sources parlent de la persistance de cette divergence jusque dans l’après-midi. Ce qui même poussé le président de l’UNECA à préciser qu’ils ne sont pas ici pour parler des problèmes politiques mais pour trouver des solutions de développement. Poursuivant, il se demande pourquoi le Maroc persiste dans le blocage. Peine perdue puisque le Maroc persistera dans cette voie et au final il était question de recourir à un vote car selon le secrétariat de l’Uneca , le royaume chérifien n’avait pas reconnu les termes et par conséquent , il ne pourra pas participer à cette réunion.
Ce que la partie marocaine conteste vigoureusement en indiquant au président de l’Uneca qu’il n’a pas la prérogative de prendre la décision d’organiser un vote et que cela revenait aux états membres.
Pourtant, le début de cette rencontre s’annonçait prometteur suite à la conférence de presse de la veille. Ce face-à-face avec la presse avait permis aux messieurs René Kouassi, Directeur de la Commission de l’UA et Dimitri Sanga de la CEA de camper le sujet.
Fatou Blondin Cissé