
En effet, explique la Dpee, l’indicateur qui le synthétise a gagné 5,7 points pour se retrouver légèrement au-dessus de sa moyenne de long terme. «Cette situation reflète les orientations favorables des opinions des industriels, entrepreneurs de bâtiment et travaux publics, prestataires de services et commerçants. Sur une base annuelle, le climat des affaires s’est, aussi, renforcé de 1,3 point, en juin 2020 », lit-on dans le document.
Dans l’industrie, ajoute la même source, l’approvisionnement difficile en matières premières (44%), l’insuffisance de la demande (40%), les difficultés de recouvrement des créances (36%) et la concurrence supposée déloyale (28%) ont majoritairement constitué les principales contraintes à l’activité. Toutefois, le climat des affaires s’est renforcé (+6,0 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, sous l’effet des orientations positives des soldes d’opinion
relatifs à la production et aux perspectives de production et de commandes.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés sont l’accès difficile au foncier (50%), les difficultés de recouvrement des créances (50%) et l’accès difficile au crédit (50%). Néanmoins, le climat des affaires s’est affiché plus reluisant (+20,2 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les orientations favorables des soldes d’opinion relatifs à l’activité générale et aux commandes (publiques et privées).
Au titre du sous-secteur des services, les interrogés ont majoritairement évoqué la concurrence jugée déloyale (67%), les difficultés de recouvrement des créances (56%), la fiscalité (44%) et l’insuffisance de la demande (33%) comme les principales entraves à l’activité, en juin 2020. Toutefois, le climat des affaires s’est amélioré (+3,7 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel.
S’agissant du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (100%), l’insuffisance de la demande (100%), les difficultés d’approvisionnement en marchandises (67%) et la fiscalité (67%) sont les contraintes à l’activité les plus évoquées par les interviewés, en juin 2020. Néanmoins, le climat des affaires s’est renforcé (+8,3 points) en rythme mensuel, sous l’effet des orientations favorables des soldes d’opinion relatifs au chiffre d’affaires, à l’amélioration de la situation des stocks de produits finis et aux commandes reçues.
Adou FAYE
Dans l’industrie, ajoute la même source, l’approvisionnement difficile en matières premières (44%), l’insuffisance de la demande (40%), les difficultés de recouvrement des créances (36%) et la concurrence supposée déloyale (28%) ont majoritairement constitué les principales contraintes à l’activité. Toutefois, le climat des affaires s’est renforcé (+6,0 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, sous l’effet des orientations positives des soldes d’opinion
relatifs à la production et aux perspectives de production et de commandes.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés sont l’accès difficile au foncier (50%), les difficultés de recouvrement des créances (50%) et l’accès difficile au crédit (50%). Néanmoins, le climat des affaires s’est affiché plus reluisant (+20,2 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les orientations favorables des soldes d’opinion relatifs à l’activité générale et aux commandes (publiques et privées).
Au titre du sous-secteur des services, les interrogés ont majoritairement évoqué la concurrence jugée déloyale (67%), les difficultés de recouvrement des créances (56%), la fiscalité (44%) et l’insuffisance de la demande (33%) comme les principales entraves à l’activité, en juin 2020. Toutefois, le climat des affaires s’est amélioré (+3,7 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel.
S’agissant du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (100%), l’insuffisance de la demande (100%), les difficultés d’approvisionnement en marchandises (67%) et la fiscalité (67%) sont les contraintes à l’activité les plus évoquées par les interviewés, en juin 2020. Néanmoins, le climat des affaires s’est renforcé (+8,3 points) en rythme mensuel, sous l’effet des orientations favorables des soldes d’opinion relatifs au chiffre d’affaires, à l’amélioration de la situation des stocks de produits finis et aux commandes reçues.
Adou FAYE