
A en croire le Commandant Seydou Diallo, «pour promouvoir et favoriser la mise en place d’une politique de santé et de sécurité en milieu maritime telle que préconisée par l’OMI et l’OIT, il faut : mettre en œuvre tous les instruments pertinents relatifs à la sécurité et à la santé des gens de mer.
De même, il pense qu’il faut élaborer et ou adopter un cadre juridique référentiel unique et cohérent qui intègre autant que possible toutes les normes actuelles contenues dans les conventions sur le travail maritime. Tenir compte des normes internationales sur la conception et la construction des navires et assurer la formation des gens de mer, etc.
Concernant les Risques en mer, il indiquera que «le risque lié à la nature de la mer et à ses dangers se notent avec les tempêtes, collisions, ripages de cargaison, incendies, la dangerosité des produits transportés, la piraterie et le terrorisme) ».
Parlant des risques pour l’homme, il révélera que «le métier de marin, c’est le métier le plus dangereux, car étant à risque résultant de deux facteurs que sont : les conditions de travail en milieu hostile et isolement rendant impossible l’accès rapide au médecin et à l’hôpital).
«Au Sénégal, informe le Commandant Diallo, les marins sont soumis aux dispositions des IPM instituées dans les années 1970 avec l’avènement de la Convention collective de la Marine Marchande de 1975».
Il signalera que «pour dire plus jamais ça, suite au triste naufrage de «Joola» en 2002, avec plus de 2000 victimes, il a été institué l’Assurance privée du navire et la responsabilité civile, à côté de nouveaux dispositifs institutionnels, matérialisés par la création de l’ANAM et de la HASSMAR.
«Il convient de signaler que la majeure partie de la flotte de pêche mondiale se compose de bateaux de pêche artisanale, sans oublier l’absence de règlementation internationale tant pour la conception que pour la construction des embarcations ; l’absence d’organisation de travail normalisé ; l’absence de conditions de prise en charge des marins artisans », regrette M. Seydou Diallo.
Pathé TOURE
De même, il pense qu’il faut élaborer et ou adopter un cadre juridique référentiel unique et cohérent qui intègre autant que possible toutes les normes actuelles contenues dans les conventions sur le travail maritime. Tenir compte des normes internationales sur la conception et la construction des navires et assurer la formation des gens de mer, etc.
Concernant les Risques en mer, il indiquera que «le risque lié à la nature de la mer et à ses dangers se notent avec les tempêtes, collisions, ripages de cargaison, incendies, la dangerosité des produits transportés, la piraterie et le terrorisme) ».
Parlant des risques pour l’homme, il révélera que «le métier de marin, c’est le métier le plus dangereux, car étant à risque résultant de deux facteurs que sont : les conditions de travail en milieu hostile et isolement rendant impossible l’accès rapide au médecin et à l’hôpital).
«Au Sénégal, informe le Commandant Diallo, les marins sont soumis aux dispositions des IPM instituées dans les années 1970 avec l’avènement de la Convention collective de la Marine Marchande de 1975».
Il signalera que «pour dire plus jamais ça, suite au triste naufrage de «Joola» en 2002, avec plus de 2000 victimes, il a été institué l’Assurance privée du navire et la responsabilité civile, à côté de nouveaux dispositifs institutionnels, matérialisés par la création de l’ANAM et de la HASSMAR.
«Il convient de signaler que la majeure partie de la flotte de pêche mondiale se compose de bateaux de pêche artisanale, sans oublier l’absence de règlementation internationale tant pour la conception que pour la construction des embarcations ; l’absence d’organisation de travail normalisé ; l’absence de conditions de prise en charge des marins artisans », regrette M. Seydou Diallo.
Pathé TOURE