En décembre, renseigne un communiqué de presse, le taux de chômage était stable également dans la Zone Euro, à 8.3% (1.1 points de pourcentage au-dessus de son niveau de février 2020), avec des baisses de 0.2 point de pourcentage ou plus en Belgique, en Lituanie, au Portugal et en Slovénie et des hausses de 0.2 points de pourcentage ou plus en Autriche, en Finlande, en Italie et au Luxembourg.
Selon la même source, aux États-Unis, où le nombre de personnes en mise-à-pied temporaire a été relativement stable depuis octobre, le taux de chômage était inchangé à 6.7%, plus élevé de 3.2 points de pourcentage qu’en février 2020. Au Canada, il augmentait de 0.2 point de pourcentage (à 8.8%). Des données plus récentes pour le mois de janvier 2021 montrent que le taux de chômage était en baisse de 0.4 point de pourcentage aux États-Unis (à 6.3%), tandis qu’il continuait d’augmenter (de 0.6 point de pourcentage, à 9.4%) au Canada (à 8.6%).
En décembre, le taux de chômage était inchangé au Japon, à 2.9% (0.5 point de pourcentage au-dessus de son niveau d’avant la pandémie). Il augmentait de 0.5 point de pourcentage en CORÉE (à 4.6%), tandis qu’il continuait de baisser en Australie (à 6.6% en décembre, contre 6.8% en novembre), en Colombie (à 14.6%, contre 15.3%) et au Mexique (à 4.2%, contre 4.5%).
Malgré la stabilité des taux de chômage globaux de la Zone Ocde et de la Zone Euro, en décembre, le taux de chômage des jeunes (15-24 ans) de l’Ocde était en légère hausse, à 14.4% (contre 14.2% en novembre). Dans la Zone Euro, le taux de chômage des jeunes augmentait à 18.5% (contre 18.1% en novembre), la seconde hausse mensuelle consécutive .
Plus généralement, il convient de noter que les statistiques du chômage ne rendent pas compte de la totalité du sous-emploi causé par le Covid-19, étant donné que certaines personnes « pas en emploi » peuvent être comptées comme étant « hors de la population active » parce qu’en raison de la pandémie, elles n’étaient pas en mesure de chercher un emploi activement ou bien n’étaient pas disponibles pour travailler.
Adou FAYE
Selon la même source, aux États-Unis, où le nombre de personnes en mise-à-pied temporaire a été relativement stable depuis octobre, le taux de chômage était inchangé à 6.7%, plus élevé de 3.2 points de pourcentage qu’en février 2020. Au Canada, il augmentait de 0.2 point de pourcentage (à 8.8%). Des données plus récentes pour le mois de janvier 2021 montrent que le taux de chômage était en baisse de 0.4 point de pourcentage aux États-Unis (à 6.3%), tandis qu’il continuait d’augmenter (de 0.6 point de pourcentage, à 9.4%) au Canada (à 8.6%).
En décembre, le taux de chômage était inchangé au Japon, à 2.9% (0.5 point de pourcentage au-dessus de son niveau d’avant la pandémie). Il augmentait de 0.5 point de pourcentage en CORÉE (à 4.6%), tandis qu’il continuait de baisser en Australie (à 6.6% en décembre, contre 6.8% en novembre), en Colombie (à 14.6%, contre 15.3%) et au Mexique (à 4.2%, contre 4.5%).
Malgré la stabilité des taux de chômage globaux de la Zone Ocde et de la Zone Euro, en décembre, le taux de chômage des jeunes (15-24 ans) de l’Ocde était en légère hausse, à 14.4% (contre 14.2% en novembre). Dans la Zone Euro, le taux de chômage des jeunes augmentait à 18.5% (contre 18.1% en novembre), la seconde hausse mensuelle consécutive .
Plus généralement, il convient de noter que les statistiques du chômage ne rendent pas compte de la totalité du sous-emploi causé par le Covid-19, étant donné que certaines personnes « pas en emploi » peuvent être comptées comme étant « hors de la population active » parce qu’en raison de la pandémie, elles n’étaient pas en mesure de chercher un emploi activement ou bien n’étaient pas disponibles pour travailler.
Adou FAYE