Interrogé s’il se considère comme féministe, le président répond positivement en disant que « les femmes ont la même capacité, sinon plus, que leurs homologues masculins ». Il poursuit en s’engageant « à la fois en tant que président et en tant que politicien, à faire tout son possible pour que les femmes de nos pays aient les mêmes chances, sinon plus, que leurs homologues masculins.
Dans une session dynamique et rare de 90 minutes avec quatre jeunes entrepreneurs africains, le président Kenyatta a répondu à une série de questions directes sur l’avenir de la technologie en Afrique et le rôle de chef de file du Kenya sur le continent.
La Secrétaire exécutive de la Cea, Vera Songwe, appelle à redoubler d’efforts pour réduire l’écart entre les hommes et les femmes, expliquant que « 15,2% seulement de l’innovation et des entreprises dans le secteur des TIC sont réalisées par des femmes » et, par conséquent, « elles ont besoin de beaucoup de financement ».
Elle salue la création du Fonds d’investissement pour le leadership des femmes africaines en déclarant que « grâce à ce fonds, nous pouvons voir plus d’investissements et soutenir plus de femmes ».
Le président Kenyatta souligne la nécessité de développer des produits financiers pour permettre aux femmes d’accéder au capital d’une manière qui « ne leur impose pas des taux d’intérêt exorbitants ». Il ajoute que le Kenya poursuivra des politiques « qui permettront aux femmes et aux jeunes de prendre légitimement leur place en tant que partenaires du développement et en tant que partenaires de l’avenir du continent africain ».
Adou FAYE
Dans une session dynamique et rare de 90 minutes avec quatre jeunes entrepreneurs africains, le président Kenyatta a répondu à une série de questions directes sur l’avenir de la technologie en Afrique et le rôle de chef de file du Kenya sur le continent.
La Secrétaire exécutive de la Cea, Vera Songwe, appelle à redoubler d’efforts pour réduire l’écart entre les hommes et les femmes, expliquant que « 15,2% seulement de l’innovation et des entreprises dans le secteur des TIC sont réalisées par des femmes » et, par conséquent, « elles ont besoin de beaucoup de financement ».
Elle salue la création du Fonds d’investissement pour le leadership des femmes africaines en déclarant que « grâce à ce fonds, nous pouvons voir plus d’investissements et soutenir plus de femmes ».
Le président Kenyatta souligne la nécessité de développer des produits financiers pour permettre aux femmes d’accéder au capital d’une manière qui « ne leur impose pas des taux d’intérêt exorbitants ». Il ajoute que le Kenya poursuivra des politiques « qui permettront aux femmes et aux jeunes de prendre légitimement leur place en tant que partenaires du développement et en tant que partenaires de l’avenir du continent africain ».
Adou FAYE