En outre, il s’est félicité du fait que « cette étude constitue pour le FAC une reconnaissance, en tant qu’institution dans le domaine de la concurrence en Afrique subsaharienne », a d’emblée déclaré M. Bonakele. Il s’agit en outre d’une contribution des pouvoirs publics dans ce domaine important et qui implique la lutte contre la pauvreté et l’accès des populations aux produits de base.
Le rapport lancé ce matin, à Dakar, a été coproduite par le FAC et le Groupe de la banque mondiale. Il examine l’évolution des cadres de réglementation de la concurrence et leur mise en application dans 19 pays africains et 3 communautés économiques régionales africaines. Il s’est intéressé en particulier à trois secteurs importants pour la compétitivité de l'Afrique : le ciment, les engrais et les télécommunications. M. Bonakele a donné l’exemple du secteur de la téléphonie où les tarifs restent élevés en Afrique. C’est ainsi qu’il a comparé le prix du roaming en Europe, qui est presque nul, alors qu’« il est faramineux » en Afrique. Dans ce sens, il a demandé au ministre sénégalais du Commerce, Alioune Sarr, de jouer le rôle de plaidoyer auprès de ses pairs et des gouvernements africains.
Amadou BA
Le rapport lancé ce matin, à Dakar, a été coproduite par le FAC et le Groupe de la banque mondiale. Il examine l’évolution des cadres de réglementation de la concurrence et leur mise en application dans 19 pays africains et 3 communautés économiques régionales africaines. Il s’est intéressé en particulier à trois secteurs importants pour la compétitivité de l'Afrique : le ciment, les engrais et les télécommunications. M. Bonakele a donné l’exemple du secteur de la téléphonie où les tarifs restent élevés en Afrique. C’est ainsi qu’il a comparé le prix du roaming en Europe, qui est presque nul, alors qu’« il est faramineux » en Afrique. Dans ce sens, il a demandé au ministre sénégalais du Commerce, Alioune Sarr, de jouer le rôle de plaidoyer auprès de ses pairs et des gouvernements africains.
Amadou BA