Depuis plus de 10 ans, le Sénégal a interdit l’importation de la viande de poulets en raison de la grippe aviaire. Lors de l’examen des politiques commerciales qui aura lieu les 25 et 27 octobre 2017 à Genève (Suisse), le Sénégal sera probablement attendu sur la question.
Selon la directrice du commerce extérieur qui s’exprimait ce matin lors d’un petit déjeuner de presse, cette question revient toujours lors de cet examen.
Mais Mme Aminata Assome Diatta estime qu’avec la grippe aviaire, le Sénégal n’a pas l’infrastructure nécessaire pour s’assurer de la qualité des produits qu’il importe. « Nous ne voulons prendre aucun risque c’est la raison pour laquelle nous fermons nos frontières ». Son collègue Fallou Mbow Fall directeur adjoint du commerce extérieur de renchérir en indiquant que les règles de l’OMC le permettent en pareil cas, avant d’ajouter que la menace est toujours présente .
Par ailleurs, la directrice du commerce extérieur, au vu des échanges qu’il ont eu avec l’OMC, admet qu’il y a d’autres questions concernant le Sénégal sur lesquels l’examen portera. C’est le cas par ex avec « la redevance Cosec » ou les « prélèvements opérés au profit des organisations communautaires ».
Sur la 1ère question Aminata Assome Diatta révèle que l’OMC considère que les conseillers des chargeurs ne sont pas réellement utiles et que les prélèvements pour les alimenter devraeint être supprimés pour permettre aux opérateurs économiques de faire du commerce beaucoup plus aisément » conclut-t-elle.
Abdoulaye NDIAYE
Selon la directrice du commerce extérieur qui s’exprimait ce matin lors d’un petit déjeuner de presse, cette question revient toujours lors de cet examen.
Mais Mme Aminata Assome Diatta estime qu’avec la grippe aviaire, le Sénégal n’a pas l’infrastructure nécessaire pour s’assurer de la qualité des produits qu’il importe. « Nous ne voulons prendre aucun risque c’est la raison pour laquelle nous fermons nos frontières ». Son collègue Fallou Mbow Fall directeur adjoint du commerce extérieur de renchérir en indiquant que les règles de l’OMC le permettent en pareil cas, avant d’ajouter que la menace est toujours présente .
Par ailleurs, la directrice du commerce extérieur, au vu des échanges qu’il ont eu avec l’OMC, admet qu’il y a d’autres questions concernant le Sénégal sur lesquels l’examen portera. C’est le cas par ex avec « la redevance Cosec » ou les « prélèvements opérés au profit des organisations communautaires ».
Sur la 1ère question Aminata Assome Diatta révèle que l’OMC considère que les conseillers des chargeurs ne sont pas réellement utiles et que les prélèvements pour les alimenter devraeint être supprimés pour permettre aux opérateurs économiques de faire du commerce beaucoup plus aisément » conclut-t-elle.
Abdoulaye NDIAYE