Selon la Direction de prévision et des études économiques(Dpee), ce renforcement des dépenses reflète le niveau d’exécution soutenu des investissements. En effet, sur les cinq (05) premiers mois de l’année 2017, les dépenses en capital sont évaluées à 473,3 milliards, soit une progression de 171,8 milliards, en liaison avec les investissements financés sur ressources extérieures (+154,5 milliards) et, dans une moindre mesure, celles sur ressources internes (+17,3 milliards) qui se sont respectivement établies à 195,9 milliards et 277,4 milliards.
S’agissant des dépenses courantes, elles sont estimées à 658,1 milliards à fin mai 2017, soit une progression de 2,3% induite, notamment, par l’augmentation de la masse salariale et des intérêts sur la dette qui ont respectivement progressé de 19,3 milliards et 12,7 milliards sur un an.
Les charges de fonctionnement, évaluées à 320,1 milliards, ont, quant à elles, baissé de 17,3 milliards grâce, notamment, aux efforts de rationalisation des charges liées aux fournitures et entretien qui se sont repliées de 29,7 milliards. Toutefois, les transferts et les subventions ont progressé de 6% comparativement à la même période de l’année 2016 pour s’établir à 220,4 milliards.
Pathé TOURE
S’agissant des dépenses courantes, elles sont estimées à 658,1 milliards à fin mai 2017, soit une progression de 2,3% induite, notamment, par l’augmentation de la masse salariale et des intérêts sur la dette qui ont respectivement progressé de 19,3 milliards et 12,7 milliards sur un an.
Les charges de fonctionnement, évaluées à 320,1 milliards, ont, quant à elles, baissé de 17,3 milliards grâce, notamment, aux efforts de rationalisation des charges liées aux fournitures et entretien qui se sont repliées de 29,7 milliards. Toutefois, les transferts et les subventions ont progressé de 6% comparativement à la même période de l’année 2016 pour s’établir à 220,4 milliards.
Pathé TOURE