Outre la nomination de l’Ivoirienne Fanta Coulibaly Koné, directrice à la Banque nationale d’investissement(BNI), à la tête du Fagace, le Conseil des gouverneurs a pointé du doigt certaines difficultés issues du rapport d’audit. Selon Pape Amadou Sarr, le président de son Conseil d’administration, « le Fagace a connu ces deux dernières années quelques difficultés ayant occasionnées des pertes de ressources. » C’est pourquoi, poursuit le conseiller technique au ministère sénégalais de l’Economie, « la gestion doit être améliorée. »
Nul doute que la nouvelle directrice, par ailleurs conseillère technique au ministère ivoirien de l’Economie et des finances de Côte d’Ivoire s’y attèlera dans ses premières tâches. Elle prendra fonction le 2 janvier 2017.
Déjà, parmi les difficultés rencontrées par l’institution financière internationale spécialisée dans la promotion des investissements publics et privés, on peut noter des erreurs de gestion et une absence de produits d’exploitation, résultant de conflits avec quelques créanciers.
Venu présider,la deuxième session extraordinaire, le ministre sénégalais de l’Economie, des finances et du plan et président du Conseil des gouverneurs a rappelé que la sauvegarde du Fagace dépend du concours financier des 14 Etats membres, notamment dans la mobilisation du capital social. « Des mesures diligentes doivent être prises pour la libération du capital appelé de 2014 dont l’échéance de 2016 n’a enregistré aucune contribution », a dit Amadou Bâ. Il a également appelé au respect du calendrier de libération des parts du capital appelé.
Malgré ses difficultés, le Fagace a pu mobiliser plus de 1 500 milliards de francs CFA de financement pour 213 projets à travers les Etats membres, dans les secteurs de les industries de valorisation des énergies renouvelables, le développement rural, les PME, entre autres.
Amadou BA
Nul doute que la nouvelle directrice, par ailleurs conseillère technique au ministère ivoirien de l’Economie et des finances de Côte d’Ivoire s’y attèlera dans ses premières tâches. Elle prendra fonction le 2 janvier 2017.
Déjà, parmi les difficultés rencontrées par l’institution financière internationale spécialisée dans la promotion des investissements publics et privés, on peut noter des erreurs de gestion et une absence de produits d’exploitation, résultant de conflits avec quelques créanciers.
Venu présider,la deuxième session extraordinaire, le ministre sénégalais de l’Economie, des finances et du plan et président du Conseil des gouverneurs a rappelé que la sauvegarde du Fagace dépend du concours financier des 14 Etats membres, notamment dans la mobilisation du capital social. « Des mesures diligentes doivent être prises pour la libération du capital appelé de 2014 dont l’échéance de 2016 n’a enregistré aucune contribution », a dit Amadou Bâ. Il a également appelé au respect du calendrier de libération des parts du capital appelé.
Malgré ses difficultés, le Fagace a pu mobiliser plus de 1 500 milliards de francs CFA de financement pour 213 projets à travers les Etats membres, dans les secteurs de les industries de valorisation des énergies renouvelables, le développement rural, les PME, entre autres.
Amadou BA